À Paris, quatre adolescentes auraient été victimes de piqûres sauvages dans une « teen party »

Il y a deux ans, une vague de signalements de cas de piqûres sauvages avait eu lieu dans le milieu festif.

Quatres mineurs ont été conduites à l’hôpital Necker samedi après avoir été prises d’étourdissements, de nausées et de maux de tête lors d’une teen party au Vendôme, dans le centre de la capitale. Les adolescentes assurent avoir été piquées, la directrice de la soirée appelle à « ne pas céder à la psychose », rapporte « Le Parisien ».

Est-ce le retour des piqures sauvages ? Selon «  Le Parisien », quatre adolescentes ont été prises d’étourdissements, de nausées et de maux de tête lors d’une « teen party », ces soirées réservées aux mineurs âgés de 13 à 17 ans. Elles pensent avoir été victimes de  piqûres sauvages, elles ont été évacuées vers l’hôpital Necker afin de procéder à des examens et des analyses. L’une d’elles présenterait « une trace sur le bras pouvant s’apparenter à une piqûre », précise le parquet de Paris. L’enquête a été confiée au commissariat de Paris-Centre.

La boîte de nuit Vendôme organise régulièrement des « teen parties », des soirées dédiées aux adolescents. Ce samedi 22 mars, il est 21 heures passées, lorsque les quatre jeunes filles se rendent à l’accueil en criant, vraisemblablement paniquées, rapporte « Le Parisien ». Elles affirment avoir été piquées au milieu de la piste de danse. « Une première jeune fille a dit avoir été piquée par une seringue. Puis ses amies ont paniqué, elles ont commencé à avoir chaud, le cœur qui s’emballe », raconte le propriétaire du Vendôme. Seuls les résultats des analyses pourront confirmer si les jeunes filles se sont fait injecter un produit toxique.

Les participants fouillés à l'entrée

« Nous prenons cette affaire très au sérieux, si les faits sont avérés, alors les auteurs doivent être identifiés au plus vite et présentés à la justice », a...

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