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États-Unis : Donald Trump accuse le FBI de lui avoir saisi trois passeports lors d’une perquisition

L’ancien président des États-Unis était, lundi 9 août, sous le coup d’une vaste perquisition du FBI pour retrouver des documents classifiés. Il accuse la police fédérale d’avoir saisi trois passeports lui appartenant.

Donald Trump s'estime victime de « persécution politique ». Mardi 9 août, l’ex-président des États-Unis a annoncé que la police fédérale américaine (FBI) avait « perquisitionné » sa résidence de Mar-a-Lago en Floride. Le FBI, qui soupçonne l’ex-président des États-Unis d’avoir violé une loi américaine relative à l’espionnage, encadrant notamment la détention de documents confidentiels liés à la sécurité nationale, aurait saisi chez lui des documents marqués « top secret ».

Mais Donald Trump a une autre version : il affirme désormais que le FBI aurait saisi « trois [de ses] passeports, dont un expiré ». Le « Daily Mail » a précisé lundi 15 août qu’il pourrait s’agir de son passeport bleu touristique, de son passeport rouge pour les voyages officiels ainsi que de son passeport noir diplomatique. Le Département de la Justice des États-Unis (CBS) a cependant démenti toute détention des passeports de Donald Trump par le FBI.

Trump accuse un « assaut contre un opposant politique »

Si la confiscation des passeports était avérée et que Donald Trump n’en possédait pas d’autre valide, cela signifierait qu’il ne pourrait pas quitter les États-Unis. C’est ce qu’a semblé insinuer l’ancien président, accusant la police fédérale, sur son réseau social « Truth Social », de mener « un assaut contre un opposant politique à un niveau jamais vu auparavant [aux États-Unis] ».

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