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Et si vous étiez une dépensière émotionnelle ?

Acheter plus quand on est triste, ennuyée ou énervée porte un nom : la dépense émotionnelle. Et si c’était vous ?

Acheter cette paire de sandales qui vous a tapé dans l’œil sur Internet ne va pas résoudre tous vos malheurs. Problème ? Vous craquez, avide de ce sentiment de satisfaction après avoir passé commande. Consommer davantage lorsque l’on ne se sent pas bien n’est pas si insolite qu’on le croit, au contraire. La dépense émotionnelle, comme l’appelle l’édition britannique de « Stylist », se serait même développée pendant les confinements. N’étant pas en mesure de nous récompenser avec des expériences dans le monde extérieur, nous avons apaisé nos tourments grâce aux achats en ligne.

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Quand les émotions contrôlent le portefeuille

En fait, les émotions jouent un rôle considérable dans notre façon de gérer notre argent. « La façon dont nous percevons l'argent est liée aux souvenirs et aux expériences », explique Gabi Slemer, experte en éducation financière à « Stylist ». « La façon dont nous avons grandi, nos expériences d'enfance autour de l'argent, les villes dans lesquelles nous vivons, les médias que nous consommons, avec qui nous passons notre temps et notre activité professionnelle ont une influence massive sur la façon dont nous dépensons », explique-t-elle. Souvent, nous ne sommes même pas conscients de ces mécanismes de dépense.

Au-delà de l’éducation et des habitudes de vie, il arrive que nous associions la dépense au bien-être et à la...

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