Une étude nous dit enfin d'où vient le "blues" du dimanche soir

Pexels

Plus le dimanche soir arrive, plus vous vous sentez déprimé·e ? Comme de nombreuses personnes, vous souffrez sûrement du "blues" du dimanche soir. Boule au ventre, stress, moral dans les chaussettes et passage en revue du week-end avec déjà une pointe de nostalgie, ce trouble reconnu par le Syndicat national des kinésiologues est généralement attribué aux personnes "plus vulnérables au changement de rythme que provoque le relâchement des congés ou du week-end", précise un communiqué relayé par Économie matin. Ainsi, les spécialistes le remarquent souvent chez celleux qui sont anxieux·euses, perfectionnistes ou très investi·es dans leur travail et qui, au lieu de profiter des derniers instants du week-end, pensent déjà à la nouvelle semaine qui les attend.

Selon une étude menée par l'université d'Exeter, en Angleterre, réalisée sur un échantillon de 650 personnes, le facteur principal de ce "blues" du dimanche soir serait lié... au travail ! Et plus particulièrement à la frontière, pas toujours distincte, entre le temps personnel et le temps professionnel, notamment à cause de mails reçus pendant le week-end, d'un travail inachevé la semaine précédente ou encore d'une pression que l'on se met soi-même pour effectuer certaines tâches. "Nos recherches ont montré que le flou des frontières entre la maison et le travail peut aggraver l'expérience du blues du dimanche soir", souligne Ilke Inceoglu, professeur de comportement organisationnel et de gestion des ressources humaines à la (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Anxiété, dépression : le sommeil des Français se dégrade et cela affecte leur santé mentale, selon une étude
Qu’est-ce que le stress empathique, ce comportement inconscient qui nous affecte tous ?
Voici le défaut qui touche 50% des étudiants et qui détériorerait leur santé physique et psychologique
Êtes vous concerné par le "junk sleep", ce sommeil néfaste pour votre cerveau et votre corps ?
Voici les 2 choses dont on a absolument besoin pour être heureux, selon une étude d'Harvard