Êtes-vous un donneur ou un preneur ? Selon la science, il existe deux types de personnes dans une conversation

Pexels

Lorsque nous discutons avec quelqu’un, nous n’avons pas tous·tes le même comportement. Certain·e·s vont écouter patiemment en se demandant pourquoi l’autre ne leur pose aucune question, tandis que certain·e·s vont parler sans arrêt en se demandant plutôt pourquoi iel est le ou la seul·e à mener la conversation. Selon Adam Mastroianni, chercheur à la Columbia Business School, c’est parce qu’il existe deux types de personnes dans une discussion. Dans un essai publié sur Substack, l’expert a effectivement expliqué que nous pouvons être soit des "donneur·euse·s", soit des "preneur·euse·s", rapporte le HuffPost.

"Les donneur·euse·s pensent que les conversations se déroulent comme une série d’invitations et les preneur·euse·s pensent que les conversations se déroulent comme une série de déclarations", indique le spécialiste. Le premier type de personnalité pose généralement plus de questions parce qu'il pense que c'est la meilleure façon de favoriser la discussion, alors que le second pense qu'il est préférable de parler et de mener la conversation pour qu’elle soit la plus intéressante possible.

Sur le même sujet : ⋙ Voici ce que votre photo de profil révèle vraiment de votre personnalitéDating : le “small talk” permettrait de cerner la personnalité de quelqu’un en quatre minutes

D’après Adam Mastroianni, lorsqu’un·e donneur·euse discute avec un·e donneur·euse, "tout va bien", et pareil pour les preneur‧euse.s. En revanche, lorsque les deux profils opposés se rencontrent, une certaine (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Le cancer du sein bientôt dépisté grâce à une simple empreinte digitale ?
Êtes-vous victime de monkey-barring, ce comportement toxique qui peut faire éclater votre couple ?
Tout savoir sur les "règles anniversaires", un phénomène parfois inquiétant survenant durant la grossesse
Voici les aliments qui nous rendraient le plus de mauvaise humeur, d’après une spécialiste
Disputes de couple : pourquoi le "traitement silencieux" n'est vraiment pas la bonne solution