3 raisons d'aimer la série « Les papillons noirs », sur Arte

Trois raisons d'aimer « Les papillons noirs ».

Pour l'originalité de son concept 

En panne d'inspiration, un écrivain à succès, Adrien (Nicolas Duvauchelle) accepte de rédiger les Mémoires d'un vieux bonhomme, Albert (Niels Arestrup). Il s'attend à mourir d'ennui, il recueille – avec le grand grand amour d'Albert, Solange – les souvenirs de jeunesse d'un serial killer. Cela donne deux objets romantico-gore très amusants : une série en six épisodes et un polar aux Éditions du Masque. Complémentaires, mon chez Watson.           

Pour son suspense alambiqué

Jusqu'à l'épisode final, qu'on évitera de regarder avant de dormir, le doute subsiste sur l'identité, les liens et les ambitions des personnages. Quel était le véritable rôle d'Albert dans ces meurtres ? Qu'est devenue Solange, ange exterminateur à la beauté torride (ravissante Alyzée Costes) ? Et que va faire l'écrivain de ces confessions criminelles, alors qu'il a déjà du mal à gérer son couple et sa consommation de whisky ?                                                                                   

Pour son maniérisme rétro

Un plan à la Kubrick ici, un clin d'œil à Tarantino là… Multipliant les références et les twists de scénario, la série rend surtout hommage au genre du « giallo » (« polar » en italien) des années 1970, dominé par les couleurs chaudes et porté par Dario Argento. Son credo : des profils psychologiques torturés, du suspense, du sexe, et quelques litres de sang !                         ...

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