Publicité

5 aliments gras que l'on peut consommer sans culpabiliser

Quand il fait froid, on a souvent envie de manger plus gras. Et si cette envie n'a rien d'anormal, nous n'avons néanmoins physiologiquement pas besoin de manger plus, et surtout plus gras en hiver. Il ne faut néanmoins pas totalement les délaisser. "Les graisses ont effectivement pleinement leur place dans une alimentation équilibrée, variée, saine, mais aussi gourmande", explique la Dre Laurence Plumey, nutritionniste. "Il convient simplement de bien les sélectionner pour privilégier les plus bénéfiques, et évidemment de ne pas en abuser sous prétexte qu'elles sont indispensables, puisqu'elles restent riches en calories."

Dans l'idéal, pour bien doser, il faut consommer chaque jour 60 g (pour une femme) et 80 g (pour un homme) de graisses alimentaires, dont :

  • 20 à 25% sous forme d'acides gras saturés, soit 12 à 15 g ;

  • 40% sous forme de mono-insaturés (oméga 9), soit 25 à 30 g ;

  • 25 à 30% sous forme de polyinsaturés, soit 12 à 13 g d'oméga 6 et d'oméga 3).

Les oméga 9 peuvent se retrouver, comme les omégas 3 et 6 dans certaines huiles et les fruits à coque, mais ils se retrouvent surtout dans les aliments contenant des lipides, soit le beurre, la crème fraîche, les viandes, les œufs ou encore le fromage.

Quelles sont les graisses à vraiment fuir ?

À l'inverse, certaines graisses sont à absolument fuir : ce sont les acides gras "trans" de synthèse. Obtenus à partir d'acides gras insaturés naturels (issus de la viande, du lait ou d'huiles végétales), (...)

Lire la suite sur Topsante.com

12 recettes légères pour sublimer les poireaux cet hiver
9 super-aliments de l'hiver à absolument ajouter à vos menus
Rappel de riz Taureau ailé : le pesticide identifié avait été interdit pour neurotoxicité et génotoxicité
Risottos d'hiver : 9 idées de recettes légères (et savoureuses)
Voici pourquoi les acides gras trans doivent vraiment être bannis de notre alimentation, selon l’OMS