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5 plantes sauvages à déguster pour préserver sa santé !

En beurre, en infusion, en soupe, en quiche ou dans une omelette, l’ortie se consomme de bien des manières et regorge de bienfaits. Les feuilles de cette plante sauvage contiennent en effet des vitamines, notamment de la vitamine C, de la vitamine K et de la vitamine B9 (ou acide folique). Elles renferment également des minéraux, comme le fer, le calcium ou le magnésium.

Le point de vigilance : les tiges et le dessous des feuilles d’ortie sont recouverts de poils urticants. Pour la cueillir et pour la cuisiner, munissez-vous de gants de jardinage pour éviter les démangeaisons.

Diurétique et digestif, le pissenlit peut s’utiliser de différentes façons. En salade, utilisez les feuilles cueillies de préférence au printemps : elles seront moins amères. Riches en vitamines et en minéraux (fer, calcium, cuivre, potassium…), les jeunes feuilles sont intéressantes d’un point de vue nutritionnel. Et comme elles contiennent des fibres, elles aideront aussi à lutter contre la constipation. Le pissenlit contient aussi de l’inuline, une fibre dite « prébiotique », qui favorise la prolifération des bonnes bactéries intestinales.

En tisane, utilisez les feuilles que vous aurez d’abord fait sécher. Bonne nouvelle : sa richesse en potassium en limite les pertes par les urines, qui sont fréquentes avec les autres plantes diurétiques.

Le point de vigilance : la consommation de pissenlit peut occasionner des brûlures d’estomac ou des nausées. Cette plante est par ailleurs contre-indiquée aux personnes (...)

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