Après le "quiet quitting", le "conscious quitting" est la nouvelle tendance qui façonne le monde du travail
Burn-out, surmenage, ennui, mauvaises relations, stress… Les raisons de démissionner sont nombreuses. Mais ces dernières années, après le "quiet quitting", une nouvelle tendance est apparue dans le monde du travail : le "conscious quitting". Comme l’explique Stylist, ce terme, qui signifie en français "démission consciente", est utilisé pour décrire l'augmentation du nombre d’employé·es quittant leur job en raison des valeurs de leur entreprise. Des valeurs qui, a priori, ne sont pas en accord avec les leurs. Cela a principalement un rapport avec les politiques sociales (égalité, diversité, etc) et environnementales de la société.
Ces "démissions conscientes" touchent particulièrement les jeunes, qui semblent de plus en plus préoccupés par les valeurs de l'entreprise pour laquelle iels travaillent. En effet, selon une récente étude réalisée par Net Positive Employee Barometer, ce phénomène est particulièrement répandu chez les 18-24 ans. Mais la génération Z n'est pas la seule à ne pas vouloir déroger à ses convictions, même au travail.
En réalité, d'après les résultats du baromètre, deux tiers des travailleur·euses britanniques (tous âges confondus) s'inquiètent de l'avenir de la planète et de la société, et assurent vouloir travailler pour une entreprise qui tente d'avoir un impact positif sur le monde d'une manière ou d'une autre. Iels sont également nombreux·euses à penser que les efforts déployés par leur employeur·euse pour relever les défis environnementaux et sociétaux (...)
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