Arnaque au logement étudiant : les escroqueries sont en hausse, comment les détecter ?

IStock/wichayada suwanachun

Dans un contexte où le marché immobilier est tendu juste avant la rentrée, les étudiants rencontrent des difficultés pour dénicher de petits logements et se retrouvent parfois prêts à prendre des décisions hâtives. Cette situation les expose de manière particulièrement vulnérable aux risques d'escroquerie, d'autant plus qu'ils ne sont pas familiers avec les normes et les pratiques du marché. Des offres affichées en dessous des tarifs du marché, des demandes de transferts d'argent précipités ou encore de fourniture de renseignements personnels avant même une visite… Toutes ces méthodes sont utilisées comme prétextes pour mener des actions frauduleuses.

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Soyez vigilant envers ceux qui requièrent un extrait de casier judiciaire, une carte d'assuré social ou un relevé de compte, car ces documents sont souvent sollicités de manière abusive pour commettre une usurpation d'identité du locataire. Seuls les justificatifs d'identité, de domicile, de revenus et de situation professionnelle énumérés sur le site service-public.fr peuvent légitimement être demandés. Dans le cas où le bailleur exige un document qui n'est pas répertorié dans cette liste, il s'expose à une amende pouvant atteindre 3 000 euros. Il est également recommandé de ne pas transmettre de dossier par courrier électronique avant d'avoir eu un entretien en personne avec le propriétaire.

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