Top 3 des hormones stimulées par le sport

Avez-vous déjà ressenti cette agréable sensation de bien-être après le sport? C’est l’une des conséquences directes de la pratique sportive et c’est pour cela que certains ne peuvent pas s’en passer. Petite explication à travers un top 3 des hormones clés !

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1-Les endorphines : anti-douleur et euphorie

Le premier effet évident d’une bonne séance de sport c’est donc cette douce sensation de bien être qui survient pendant l’activité mais surtout après. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il y a une forte production d’endorphines, un groupe de neurotransmetteurs dont la structure est très proche de la morphine, et qui sont un puissant anti douleur (autorisant donc la poursuite de gros efforts) source de plaisir et d’euphorie ! Elles diminuent les symptômes des coups de blues.

Les sports dits « cardio » produisent le plus d’endorphines, et pratiqués durant au moins 30’ à un rythme intermédiaire, ni facile ni dur, dans une sorte de léger inconfort, ils entrainent alors un pic du taux d’endorphine 45’ à 1h après l’effort, qui peut atteindre jusqu’à cinq fois la valeur de base. On se sent donc 5 fois mieux !

2-La dopamine : plaisir et vigilance

En plus de l’endorphine, le sport contribue à stimuler la production de dopamine, l’hormone du plaisir et de la vigilance, qui diminue la sensation de fatigue. Elle est également sécrétée lorsqu’il y a consommation d’alcool ou de drogue, ou encore activité sexuelle.

Endorphine et dopamine rendent donc le sport addictif, mais cette activité a des conséquences excellentes sur tout l’organisme !

3-L’adrénaline et la noradrénaline : efforts et puissance

L’adrénaline et la noradrénaline, qui sont des hormones du stress. Elles placent le corps dans les meilleures conditions pour produire un effort, que ce soit attaquer ou fuir mais aussi courir ou pousser une barre. Bref, nous sommes prêts à bondir !

Mais l’intérêt principal de la noradrénaline, dans notre monde moderne, tient surtout au fait qu’elle est capable d’agir sur nos cellules grasses pour leur ordonner de déstocker ! Il va falloir mettre de l’intensité dans vos efforts pour en produire suffisamment, par exemple en pratiquant la musculation avec des poids, du crossfit, des sprints, des sauts…

En conclusion :

faites un peu de musculation ou des sprints en début d’entrainement, pour augmenter les niveaux de noradrénaline et favoriser le déstockage, puis prolongez votre séance par une activité cardio plus « cool » pour consommer ce gras remis en circulation et pour produire un maximum d’endorphine, histoire d’être sereine et de bonne humeur toute la journée !

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