Bonheur et épanouissement au travail ne seraient pas compatibles, selon une étude
Doit-on vraiment être ami·e avec ses collègues ? Peut-on être épanoui·e sans prendre part à chaque afterwork ni à chaque pause ragots à la machine à café ? Puisqu’on devra désormais toustes travailler en moyenne jusqu’à 64 ans, autant s’y sentir bien. Pourtant, de nombreuses nouvelles tendances font leur apparition chaque jour, qui traduisent le ras-le-bol général, qui concerne les employé·es du monde entier : louq-quitting, quiet-quitting, marre-de-travailling… Pour tenter d’éviter le burn-out, on recherche toustes l’épanouissement dans notre travail. Mais est-ce vraiment quelque chose qu’on devrait souhaiter ?
La multiplication de ces tendances serait le reflet d’un mal-être commun à tous·tes, selon le docteur Jonathan Lord, professeur en management des ressources humaines à l’université de Salford Business School, près de Manchester (Royaume-Uni), rapporte Stylist. “La satisfaction professionnelle est beaucoup plus ressentie de façon historique chez les employé·es les plus jeunes, explique-t-il. Mais depuis la fin du Covid, les choses ont changé.”
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En France, 4 personnes sur 10 se disent incapables de travailler jusqu’à leur retraite. Le taux de burn-out a également augmenté depuis 2020 et le confinement, avec 2 millions de personnes qui seraient concernées. (...)
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