EN IMAGES - Brad Pitt : les 15 plus grands rôles de la star de Once Upon a Time in… Hollywood

Après la récréation entre potes d’Ocean’s Eleven, Brad Pitt s’aventure en plein conflit de la mythologie grecque avec Troie (2004). Pour les besoins de cette superproduction, le comédien se soumet à un régime et un entraînement stricts pendant six mois. L’acteur se familiarise aux méthodes de combat ancestrales pour interpréter Achille, guerrier invincible et insolent au cœur plus tendre qu’il n’y paraît. (Photo by Murray Close/Sygma/Sygma via Getty Images)

Dans Once Upon a Time… in Hollywood, Brad Pitt incarne un cascadeur qui n’hésite pas à se mesurer à la secte de Charles Manson. Pour la sortie du film, retour sur quinze autres rôles emblématiques du comédien. (Photo by Gisela Schober/Getty Images)

Brad Pitt apparaît moins de cinq minutes à l’écran dans True Romance (1993), polar génial mis en scène par le regretté Tony Scott et écrit par le jeune Quentin Tarantino. Mais les courtes scènes de Floyd, le junkie scotché à son sofa qu’il interprète, figurent parmi les plus mémorables du film. Pouvant difficilement aligner deux mots et ayant tendance à balancer son colocataire sans trop hésiter, ce glandeur patenté est tout simplement hilarant. (Photo by Warner Bros. Pictures/Sunset Boulevard/Corbis via Getty Images)

Première collaboration entre Brad Pitt et le réalisateur David Fincher, Seven est le thriller qui marque un tournant dans le genre en 1995. Souvent imité, rarement égalé, ce polar suit deux inspecteurs sur la trace de John Doe, un tueur en série qui s’inspire des sept péchés capitaux pour ses meurtres. En jeune flic impulsif et obsédé par son enquête, Brad Pitt est magistral et offre un accès de rage bouleversant dans l’inoubliable conclusion. (Photo by New Line cinema/Sunset Boulevard/Corbis via Getty Images)

Dans L’armée des 12 singes (1995), Brad Pitt livre sans doute sa performance la plus hallucinée, qui lui vaut le Golden Globe du Meilleur acteur dans un second rôle. Ce bijou de la science-fiction signé Terry Gilliam propulse James Cole (Bruce Willis) dans le passé, afin qu’il découvre la cause de l’anéantissement de notre planète. Au cours de son voyage, le héros fait la connaissance de Jeffrey Goines (Brad Pitt), un jeune homme interné en hôpital psychiatrique. Cole commence rapidement à soupçonner ce dernier d’être à l’origine du virus responsable de l’éradication de 99% de la population mondiale. (Photo by: Joseph Del Valle/NBCU Photo Bank via Getty Images)

À première vue, Tyler Durden est un séduisant producteur et vendeur de savon. En réalité, Tyler Durden est un anarchiste capable de fabriquer du napalm, créateur d’un club de combats clandestins où les règles sont parfaitement établies. Dirigé pour la deuxième fois par David Fincher, Brad Pitt incarne un gourou aussi attirant qu’inquiétant dans Fight Club (1999). Avec ce rôle de sex-symbol révolutionnaire, l’acteur annonce la fin du millénaire avec panache, dans un film qui a considérablement irrigué la pop culture. (Capture d’écran de la bande-annonce de Fight Club)

Avec Snatch (2000), Guy Ritchie laisse Brad Pitt s’en donner à cœur en lui confiant le rôle d’un boxeur manouche. S’exprimant dans un argot incompréhensible, Mickey O’Neill marque les esprits grâce aux K.O. qu’il ne peut s’empêcher d’infliger tout au long du film. S’il s’amuse comme un fou, Brad Pitt ne tombe jamais dans la surenchère avec ce personnage. Il offre même quelques moments touchants au boxeur, à l’image d’une scène où il contemple, impuissant, une caravane anéantie par les flammes. (Photo by Daniel Smith/Getty Images)

Brad Pitt incarne le membre le plus cool de la bande de braqueurs menée par George Clooney dans Ocean’s Eleven (2001). Étant donné que son personnage, Rusty Ryan, est constamment en train de planifier le casse de trois casinos de Las Vegas, l’acteur s’est demandé à quel moment il pouvait bien manger. C’est pour cette raison que le bras droit de Danny Ocean est toujours en train d’ingurgiter des plats dans le film, des nachos à de la salade, en passant par un Sunday et des crevettes. (Photo by SGranitz/WireImage via Getty Images)

En 2004, Angelina Jolie et Brad Pitt ont un coup de foudre réciproque sur le tournage de Mr. & Mrs. Smith. Dans cette comédie d’action, les deux acteurs incarnent un couple en crise, étouffé par ses nombreux secrets. Les mariés n’ont en effet jamais eu l’occasion de s’avouer qu’ils sont de redoutables espions à la solde d’agences concurrentes. Lorsque la vérité éclate, les problèmes commencent pour les Smith. À l’écran, l’alchimie entre les deux acteurs est totale. (Photo by Lester Cohen/WireImage via Getty Images)

Dans le sublime L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford (2007), Brad Pitt prête ses traits à une légende de l’Ouest vieillissante. Le regard fatigué, le bandit Jesse James permet à Brad Pitt de livrer sa composition la plus introspective. L’acteur fait des étincelles dans la peau de ce criminel avançant vers la mort avec une sérénité désarmante. (Capture d’écran de la bande-annonce de L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford)

Après avoir révélé sa fibre comique dans O’Brother (2000) et Intolérable cruauté (2003), les frères Coen retrouvent George Clooney en 2008 avec Burn After Reading. Pour cette comédie où des quidams virent à la paranoïa lorsqu’ils pensent être au cœur d’un complot, les réalisateurs font également appel à son ami Brad Pitt. Dans le rôle d’un coach sportif aussi idiot que ses mèches blondes sont de mauvais goût, l’acteur vole la vedette à tous ses partenaires. (Photo by Richard Corkery/NY Daily News Archive via Getty Images)

La troisième collaboration entre Brad Pitt et David Fincher est probablement la plus émouvante. L’étrange histoire de Benjamin Button (2008) retrace la vie d’un homme au « curieux destin », qui naît dans le corps d’un vieillard et meurt dans celui d’un bébé. Alliées au prouesses techniques du long-métrage, les performances de l’acteur et de Cate Blanchett décrivent à merveille les ravages du temps, et les regrets laissés par les occasions manquées. (Photo by Pierre HOUNSFIELD/Gamma-Rapho via Getty Images)

La mission du lieutenant Aldo Raine dans Inglourious Basterds (2009) est simple : tuer un maximum de nazis. Affublé d’une moustache, d’une énorme cicatrice et d’un accent à couper au couteau, Brad Pitt oscille entre sauvagerie et dérision dans ce film de Quentin Tarantino. Curieuse anecdote à propos de ce personnage : Aldo Raine serait l’arrière-grand-père de Floyd, le fainéant de True Romance. (Capture d’écran de la bande-annonce d’Inglourious Basterds)

Dans The Tree of Life, le personnage principal incarné par Sean Penn doit choisir entre la voie de la grâce et celle de la nature. La première est représentée par sa mère, interprétée par Jessica Chastain, tandis que son père campé par Brad Pitt symbolise la seconde. Avec ce personnage de père de famille aimant, dur et étouffé par la pression sociale, l’acteur trouve l’un de ses rôles les plus complexes et nuancés. Le long-métrage de Terrence Malick décroche la Palme d’or au Festival de Cannes en 2011. (Capture d’écran de la bande-annonce de The Tree of Life)

Le stratège (2011), réalisé par Bennett Miller, retrace l’histoire vraie de Billy Beane. Cet ancien sportif devenu patron d’une équipe de baseball a révolutionné le sport en se basant sur des théories statistiques pour recruter ses joueurs. Brad Pitt livre une performance teintée de mélancolie en incarnant ce passionné totalement dévoué à son métier, mais absent pour sa fille. L’acteur nous offre d’ailleurs l’une des fins les plus touchantes de ces dix dernières années, lorsqu’il écoute un message de cette dernière. (Capture d’écran de la bande-annonce de Le Stratège)

Après les rôles de paternels bouleversants, Brad Pitt revient à un registre nettement plus brutal en 2012 avec Cogan - Killing Them Softly d’Andrew Dominik. Le comédien est d’une classe affolante dans la peau d’un redoutable tueur à gages, embauché par la mafia pour remettre de l’ordre après un braquage foireux. (Capture d’écran de la bande-annonce de Cogan - Killing Them Softly)