Britney Spears : ses fans sont allés trop loin
Britney Spears a expliqué à ses fans qu'ils étaient allés « trop loin » en envoyant la police chez elle.
Mardi soir (24 jan. 23), certains fans de la chanteuse ont en effet appelé la police, inquiets pour son bien-être, et ont demandé à ce que des officiers se rendent chez elle pour vérifier qu'elle allait bien. La raison ? L'interprète de Toxic a, une nouvelle fois, supprimé son compte Instagram.
Les adjoints du bureau du shérif du comté de Ventura en Californie se sont rendus chez elle, comme le veut la procédure, et ont déterminé qu'il n'y avait aucune raison de croire qu'elle était en danger. Abordant l'incident dans une longue déclaration sur Twitter jeudi soir, Britney Spears a déclaré à ses fans qu'ils avaient outrepassé les limites et empiété largement sur son droit à la vie privée.
« Comme tout le monde le sait, la police a été appelée à mon domicile à la suite de quelques appels téléphoniques frauduleux. J'aime et j'adore mes fans, mais cette fois, les choses sont allées un peu trop loin et ma vie privée a été envahie, écrit-elle dans un message sur Twitter. La police n'est jamais entrée chez moi et lorsqu'ils se sont présentés à mon portail, ils ont rapidement compris qu'il n'y avait aucun problème et sont partis immédiatement. »
La musicienne, qui a supprimé son compte Instagram à de nombreuses reprises par le passé, a déclaré que l'incident l'a dépeinte sous un mauvais jour et elle espère que ses fans pourront désormais respecter sa vie privée.
« J’ai eu le sentiment d’être manipulée et humiliée une fois l’incident rendu public et d’être dépeinte, une fois encore, de façon déplorable et injuste par les médias, a-t-elle poursuivi. Pendant cette période de ma vie, j'espère vraiment que le public et mes fans, auxquels je tiens tant, pourront respecter ma vie privée à l'avenir. All the love, B. »
Britney Spears faisait sans doute référence aux récents rapports affirmant qu'elle a fait une « crise » dans un restaurant au début du mois. Son mari, Sam Asghari a nié les allégations.
