Célibat choisi : et pourquoi pas ?
"Ce livre n'est qu'une hypothèse. (…) Il est possible, quand cela n'est pas souhaitable, de vivre une vie sans cocher les cases auxquelles on se prédestine dès l'enfance, sans vivre avec quelqu'un ni faire compagnonnage – quelles que soient les formes qu'il puisse prendre -, et qu'il est possible de se passer de cet amour que l'on décrit comme le plus grand, le plus indestructible, l'amour maternel. Il est possible de se construire en dehors de ces cases, de trouver d'autres façons de créer des structures, pour soi et pour les autres, de trouver l'amour ailleurs, autrement. D'avoir simplement envie d'autre chose".
Sans jugement, critique négative ni moquerie, la journaliste et autrice Marie Kock interroge dans son livre "Vieille fille", la défiance que cette figure d'une femme qui ne se met pas en couple inspire à la société. En creux de la réhabilitation de la femme seule, l'essayiste interroge les injonctions au couple et à la vie de famille. Et si un, d'autres modèles étaient possibles ? Et si on s'autorisait le droit de ne pas avoir envie de ce plan de vie unique qu'on nous propose ?
Quelles sont ces horreurs dont la vieille fille, le titre de votre ouvrage, est soupçonnée, plus ou moins consciemment, dans l'imaginaire collectif ?
Marie Kock : Elle est marquée de différents sceaux de l'infamie. Elle peut être inconséquente ou aigrie. Avare ou dépensière. C'est un fourre-tout de tout ce qui ne va pas. Elle est souvent moche de naissance, donc pas faite (...)
Lire la suite sur Topsante.com
Contraception masculine : une pilule à prendre juste avant un rapport pour réduire (temporairement) la fertilité
Stérilets et troubles dépressifs : quel est le lien ?
Manque de sommeil et difficultés à atteindre l'orgasme : les deux pourraient avoir un lien (selon la Science)
Quel sextoy pour moi ? 6 jouets à tester en solo ou à deux pour décupler le plaisir
Sexualité et handicap : l’assistance sexuelle, qu’est-ce que c’est ?