Une "épreuve" pour Lorie Pester qui ne regrette toutefois pas sa décision. En 2018, la chanteuse qui a fait danser les foules dans les années 2000 avec ses tubes Je serai (ta meilleure amie), Toute seule ou encore Positive attitude révélait être atteinte d'endométriose, une maladie gynécologique qui touche une femme sur dix, selon l'Inserm. C'est après une grossesse extra-utérine que, pour elle, le diagnostic tombe. "D'un côté, j'étais anxieuse parce qu'on venait de m'apprendre que j'avais une maladie. D'un autre côté, j'étais soulagée, parce que je savais pourquoi j'avais ces douleurs", confiait-elle en 2019 dans Sept à huit, alors que, pendant des années, on lui avait affirmé que ses douleurs étaient "normales".

Engagée pour faire reconnaître l'endométriose, qui se caractérise par la présence de tissu semblable à la muqueuse utérine en dehors de l’utérus et qui est encore mal diagnostiquée, Lorie Pester multiplie les prises de parole pour alerter sur le quotidien difficile des femmes qui en souffrent. Notamment sur les douleurs insupportables qu'elle provoque au moment des règles. Alors qu'il n'existe encore aucun traitement pour estomper ces douleurs, de nombreuses femmes atteintes d'endométriose ont recours à l'hystérectomie. Comme c'est le cas de l'artiste. "On m'a enlevé l'utérus car j'avais trop de douleurs et c'était devenu insupportable", a-t-elle ainsi révélé dans une interview accordée à Télé-Loisirs, alors qu'elle se confiait sur une éventuelle deuxième grossesse, trois (...)

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