Les comportements les plus toxiques des Français sur les réseaux sociaux après une rupture amoureuse

84% des 18-34 ans utilisent Instagram, 81% sont sur Snapchat et 78% sur TikTok. Aujourd’hui, les réseaux sociaux font partie de l’identité de celles et ceux que l’on appelle les « digital natives », cette génération née dans un monde numérique connecté dont elle maîtrise les usages et les codes. Habitués à partager leur vie privée sur les réseaux sociaux, les moins de 35 ans font face en cas de rupture amoureuse à des problématiques inconnues de leurs aînés. Là où ces derniers pouvaient plus facilement couper les ponts, eux doivent gérer la présence en ligne de leur ex… ou de l’ex de leur partenaire du moment. Afin de mesurer comment ils vivent ces situations particulières, fruits de la révolution relationnelle créée par les réseaux sociaux, Lemon.fr et l’agence FLASHS ont demandé à l’IFOP d’interroger près de 1 000 jeunes Françaises et Français. Bien que la majorité d’entre eux se disent ouverts au maintien d'une relation amicale après une séparation, la réalité est plus nuancée. La fréquentation d'un ex dans la vie réelle ou en ligne suscite souvent malaise et jalousie, et les interactions sur les réseaux sociaux sont perçues comme des sources potentielles de conflit par beaucoup. Pourtant, les liens perdurent fréquemment en ligne. Et comme le montrent les résultats de cette enquête, observation discrète des profils, manipulation pour susciter la jalousie ou actions toxiques comme le revenge porn sont des pratiques (...)

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