Les conseils d'une nutritionniste pour arrêter de se priver des graisses animales
La plupart des graisses issues de l'animal (beurre et crème, fromages et produits laitiers) ou y étant naturellement présentes (charcuteries et viandes) apportent des acides gras dits saturés, sortes de longues chaînes à la structure rectiligne. Ceux-ci ont été violemment critiqués, voire mis au pilori, accusés notamment de favoriser les maladies cardiovasculaires en encrassant les artères. Mais, en pratique, ils apportent en parallèle des vitamines et des minéraux, et sont (pour la viande) associés à des protéines. Nul besoin donc de les exclure, il faut simplement ne pas en abuser : selon l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (ANSES), ils ne doivent pas dépasser 12 % des apports énergétiques totaux, ou 20 à 25 % du total des apports lipidiques, pas besoin, donc, de se priver à vie de beurre, de côtelettes, d'un bon morceau de comté ou de yaourt à la grecque… à condition, bien sûr, de savoir raison garder, car les abus poussent le foie à fabriquer du mauvais cholestérol (LDL).
Graisses animales : c'est quoi, rester raisonnable ?
La consommation de viande sera raisonnée, notamment en choisissant des viandes peu grasses ou des morceaux maigres, celle de charcuteries étroitement surveillée (ce sont des aliments plaisir sans grande qualité nutritionnelle et très salés, excepté le jambon cuit de bonne qualité et dégraissé). La consommation de produits laitiers et de fromages à votre convenance dans des proportions (...)
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