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Cousins, cousines… On ne les a jamais autant aimés !

Ni des frères ni des sœurs ou des copains… Et pourtant, avec eux, c’est pour la vie ! D’ailleurs, n’y a-t-il pas cet été une « cousinade » dans l’air ?

Eloignement géographique, familles plus réduites, séparations… on pourrait penser que les cousins auraient tendance à se faire rares, d’autant que les grands-parents, plus jeunes et actifs, ne sont pas toujours aussi disponibles qu’avant pour accueillir tout le monde. Eh bien, c’est tout le contraire ! Jamais les cousins germains, et les autres (voir encadré), n’ont pris de place à ce point. Ils sont un lien à part dans l’histoire familiale et jouent un rôle bien particulier dans le développement de l’enfant.

« Comme les frères et sœurs, les cousins, ça peut être pour la vie », explique Sébastien Dupont*, docteur en psychologie, spécialiste des relations familiales. Faustine, 10 ans, le résume très bien: « Je sais qu’avec mes cousins je ne pourrai jamais me fâcher vraiment ! » Mais pourquoi leur importance se renforce-t-elle aujourd’hui ?

Avec eux, pas de coups bas…

D’abord, pour les enfants, « les liens du sang entraînent un ancrage indéfectible », observe Sébastien Dupont. On ne choisit pas ses cousins. Mais ensuite, on va essayer de nourrir ces liens chargés de souvenirs communs, car ils sont souvent synonymes de vacances. Leur évocation convoque des rayons de soleil, des rires, la liberté… Pour Irina, 8 ans, qui n’a pas de frères et sœurs, « c’est comme avec les copines, mais en “plus mieux” ! »

Pour beaucoup d’enfants uniques, « les cousins germains jouent un rôle de fratrie de...

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