Voici comment créer votre boîte à outils spéciale santé mentale grâce à l'approche AAA

Getty Images © Maria Korneeva

Anxiété, solitude, difficultés au travail, dépression, deuil, problèmes de couple ou d’argent… Que ce soit pour faire face à des petits traumatismes de la vie quotidienne ou à des événements plus marquants, nous avons tous·tes une bonne raison de prendre soin de notre santé mentale. Mais savoir par où commencer et comme s’y prendre n’est pas une chose facile pour tout le monde. Pourtant, selon Meg Arroll, psychologue, scientifique et autrice, l’approche AAA pourrait être la solution efficace à tous nos maux. Les trois "A" équivalent à "awareness", "acceptance" et "action", soit la conscience, l'acceptation et l'action.

"Pour améliorer notre santé mentale, beaucoup d'entre nous passent directement à l'action et utilisent divers techniques avant même que les bases psychologiques essentielles ne soient posées. C’est pourquoi j'ai voulu structurer une méthode qui fonctionnerait dans toute une série de situations, avec un processus simple et pratique", explique-t-elle dans les colonnes de Stylist.

En effet, d’après la spécialiste, il est important de commencer par prendre conscience des événements majeurs de notre vie, mais aussi des petites blessures psychologiques que nous accumulons tout au long de notre existence.

Sur le même sujet : ⋙ Micro agressions, instabilité financière... Les petits traumas du quotidien affectent aussi notre santé mentaleSanté mentale : qu’est-ce que la batterie sociale et pourquoi faut-il faire attention de ne pas la vider ?

"Une fois que nous sommes (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Qu’est-ce que “l'heure Shultz” que vous devriez intégrer dans votre planning de travail pour réduire le stress ?
Travail : voici la méthode pour passer une journée plus productive et heureuse au boulot
Vous ruminez constamment ? Voici pourquoi et comment y remédier
Pour avoir du succès dans votre vie pro et perso, une seule qualité est indispensable selon une étude de Harvard
7 Français sur 10 sont favorables à la sieste au travail, mais à une condition