"À un mois de l'enterrement de vie de garçon (EVG), rien n'avait avancé. Les deux témoins chargés de l'organisation étaient issus de deux groupes d'amis qui ne se connaissaient pas et personne n'était d'accord. Certain‧es étaient pété de thunes et voulaient aller à Copacabana quand d'autres, comme moi, sortaient d'études et n'avaient pas du tout le budget ! ", relate Pénélope*, 34 ans. Pour éviter de céder un rein contre sa participation à l'EVG, elle décide de prendre les choses en main.

"Je fais passer un questionnaire à chaque participant‧e pour récolter des idées et je trouve des options à un budget abordable, raconte-t-elle. Je choisis la destination puis je m'occupe de réserver une maison. C'est déjà beaucoup pour quelqu'un qui n'est pas censé organiser le week-end. Une fois sur place j'ai lâché l'affaire. Ça a été un freestyle complet et on n'a pas fait grand chose car personne n'avait réservé quoi que ce soit."

Élodie*, 25 ans, aurait quant à elle préféré que personne ne se mêle de l'organisation de l'enterrement de vie jeune fille (EVJF) d'une amie connue au lycée et un peu perdue de vue depuis. "Avec les deux autres témoins, on avait prévu une randonnée à cheval dans les Pyrénées, avec apéro au coucher de soleil, brunch, ... Mais on a fait l'erreur d'en parler sur la conversation avec les neuf autres invité‧es, explique Élodie. Dans un EVJF, il faut être un dictateur et ne pas laisser le choix !"

Et pour cause, Sophie, une invitée, propose plutôt de faire l'EVJF à Marseille, (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

5 chiffres alarmants sur l’espionnage numérique au sein d’un couple
Ouïghours : plusieurs associations portent à nouveau plainte contre les multinationales de l’habillement
Travail : comment répondre à la question "où vous voyez-vous dans 5 ans ?" Des experts répondent
Au Festival de Cannes, un collectif de colleuses exprime sa colère contre le Cinéma sur la Croisette
En raison de son handicap, Léah ne peut porter que des baskets : elle se fait refouler du Festival de Cannes