Voici ce que les dirigeants pensent de Vladimir Poutine et de la guerre en Ukraine

Voici les opinions des chefs d’états au sujet du conflit qui oppose l’Ukraine et la Russie.

Le président de la République a récemment appelé Vladimir Poutine en lui faisant part à nouveau de « l’extrême gravité des conséquences de la guerre d’agression menée par la Russie contre l’Ukraine. »

Le Premier ministre britannique a récemment déclaré : « L'erreur de Poutine était d'envahir l'Ukraine, les carcasses des tanks russes sont des monuments à la mémoire de sa folie. »

Le président américain, lors d’une visite dans une usine fabriquant des armes il y a quelques jours, a qualifié le dirigeant russe de « dictateur ». Il a déclaré : « Vous permettez aux Ukrainiens de se défendre eux-mêmes. Si vous ne tenez pas tête aux dictateurs, l'histoire nous a montré qu'ils continuent encore et encore. Leur appétit de pouvoir ne cesse de croître. »

Le président ukrainien a déclaré au début de la guerre : « [Vladimir] Poutine est l’agresseur. Poutine a choisi cette guerre, et maintenant lui et son pays en subiront les conséquences. »

Le Premier ministre canadien a déclaré concernant l’invasion de l’Ukraine par la Russie : « Vladimir Poutine a enfreint les préceptes les plus fondamentaux du droit international et il tue maintenant des civils innocents en bombardant des hôpitaux et des immeubles résidentiels. Ce mépris flagrant des lois et de la vie humaine constitue une menace immense pour l’Europe et pour le monde entier. »

Le prédécesseur de Joe Biden a déclaré sur le conflit : « L’attaque russe contre l’Ukraine est épouvantable. Nous prions pour le fier peuple ukrainien. Que Dieu les bénisse tous. »

L’ancien président de la République a confié : « Le temps de la désescalade doit venir. La seule voie possible, c’est la diplomatie. Sinon, c’est la guerre totale. »

Le prédécesseur d’Emmanuel Macron à l’Elysée a déclaré concernant la guerre en Ukraine : « Il n'y a qu'une décision majeure qui doit être prise, c'est de suspendre les livraisons de gaz et de pétrole (…) c'est la seule arme qui nous reste d'importance", car "le tiers des recettes budgétaires de la Russie, c'est le gaz. »

Le Premier ministre italien a déclaré : « J'ai toujours défendu [Emmanuel] Macron et je continue de dire qu'en tant que président actuel de l'UE, il a raison d'essayer toutes les voies de dialogue possibles. Mais j'ai l'impression que l'horreur de la guerre, avec son carnage, avec ce qu'ils ont fait aux enfants et aux femmes, est complètement indépendante des déclarations et des appels téléphoniques. »

Le Premier ministre espagnol a déclaré au sujet de la guerre : « Bien que cela puisse être impossible, la guerre est revenue en Europe. Nous sommes témoins de la terreur, de la mort et de la destruction. »