Drague : voici l'accessoire tendance du moment qui rend plus séduisant selon une étude...

Depuis deux ans maintenant, le masque bucco-nasal fait partie de notre quotidien. On a peut-être encore un peu de mal à s'y faire, on a peut-être encore tendance à oublier de les mettre, on a peut-être encore des difficultés à les ajuster correctement (ah, les masques sous le nez...) mais ils restent un accessoire efficace pour lutter contre le coronavirus. Et que les quelques réfractaires au masque sachent une chose : ils semblent aussi être devenus... des armes de séduction massive auprès des femmes.

Le masque rend les hommes plus séduisants

Ça paraît étrange mais c'est bel et bien ce que révèle une étude, forcément très sérieuse, réalisée par l'Université de Cardiff au Pays de Galles, publiée dans la revue Cognitive Research : Principles and Implications et relayée par le Guardian : selon ces chercheurs, les femmes trouveraient les hommes portant des masques faciaux plus attirants que les autres. Pourtant, avant la pandémie, c'était loin d'être le cas !

Dans une étude menée en 2016 par des Japonais, il apparaissait clair que porter un masque n'avait rien de glamour ni d'attractif, et il était inéluctablement associé à la maladie. Et rien que ça. Mais depuis la pandémie, notre perception a changé. En février 2021, 43 femmes ont été chargées d'évaluer sur une échelle de 1 à 10 le caractère attractif de visages masculins sans masque, portant un tissu, un masque chirurgical bleu ou tenant un livre noir uni couvrant la zone du nez et de (...)

Lire la suite sur Grazia.fr

Astrologie : le 18 janvier 2022, c'est la Pleine Lune, et voici ce que cela va chambouler, signe par signe
Voici l'application qui nuit le plus à notre sommeil, selon la Science (et on n'est pas très surpris)
Vous n'arrivez pas à mettre de l'argent de côté ? Voici les habitudes débiles qui vous coûtent en réalité un bras...
D'après la science, voici le film qui serait le pire pour le moral (à regarder avec modération)
Cette passion très répandue rend les gens cons, selon une étude (et nous les premiers)