Electroménager, high-tech, bricolage... : nos conseils pour choisir des appareils faciles à réparer
Lave-linge à chargement par le dessus, lave-vaisselle, nettoyeurs à haute pression et aspirateurs (filaires, sans fil et robots) : depuis le 4 novembre dernier, l’étiquetage de ces appareils doit obligatoirement afficher, en ligne comme en magasin, un indice de réparabilité. Ces quatre familles de produits viennent donc s’ajouter aux lave-linge à chargement frontal, télés, ordinateurs, smartphones et tondeuses à gazon électriques, soumis à la même réglementation depuis début 2021. Sur tous ces appareils, l’indice se présente sous la forme d’une note de 1 à 10, accolée au dessin d’une clé plate et d’un engrenage, le tout respectant un code couleur allant du vert (bon) au rouge (très insuffisant).
L’attribution de l’indice de réparabilité repose sur l’évaluation de plusieurs critères communs à tous les appareils - qualité de la documentation, facilité de démontage et remontage, disponibilité et prix des pièces détachées. A cela s’ajoute des critères propres à chaque famille de produits. Ainsi, pour les aspirateurs, l’évaluation prend en compte la facilité de démontage des flexibles et du moteur d’aspiration. Un lave-vaisselle sera lui mieux noté si la documentation présente un schéma du câblage et du raccordement de l’appareil.
A savoir. La possibilité d’accéder à une assistance à distance sans frais est également un plus pris en compte dans l’indice.
Depuis le 1er janvier dernier, la loi oblige les fabricants et importateurs de smartphones et ordinateurs portables à assurer la (...)