"Il faut arrêter de croire que c'est miraculeux" : pour se débarrasser de sa moustache, Marie s'astreint depuis 3 ans à des séances au laser, elle raconte sa frustration

"Il faut arrêter de croire que c'est miraculeux" : pour se débarrasser de sa moustache, Marie s'astreint depuis 3 ans à des séances au laser, elle raconte sa frustration

Il paraît que la trentaine est une plongée dans la découverte du vrai soi. À l'approche de ce nouveau chapitre, tantôt excitant, tantôt effrayant, nombreuses sont les personnes qui se lancent des objectifs comme lignes de mire. Ces aspirations peuvent aussi bien être professionnelles, amoureuses, engagées ou pécuniaires ; elles sont surtout l'occasion d'enfin entreprendre des projets longtemps mûris. Pour Marie*, le cap de la trentaine a été source de réflexion sur son physique, et l'a poussée à dire au revoir à sa moustache : "En 2020, j'ai eu 30 ans et je me suis dit 'allez, tu es désormais dans la vie active, c'est le moment !'"

Complexée depuis l'adolescence, Marie a commencé à épiler son "gros duvet" dès l'âge de 13 ans, à la cire. "Mon grand frère me taquinait, il me surnommait D'Artagnan. Quand je me regardais dans le miroir, je ne voyais que ça. Donc j'allais me faire épiler une fois par mois, seulement ça repoussait au bout de 10-15 jours", nous raconte-t-elle. À l'époque, non seulement la jeune Marie ne remarquait aucune amélioration comme espéré, mais en plus, elle avait l'impression que son duvet devenait de plus en plus foncé au fil du temps. "Après, est-ce que c'est ma perception ?", s'interroge-t-elle aujourd'hui, vingt ans plus tard.

C'est ainsi qu'une fois sa trentième bougie soufflée et les économies nécessaires en poche, Marie a contacté un institut professionnel afin d'avoir recours au laser, plus précisément à un laser spécial pour les peaux mates et bronzées. (...)

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