FEMME ACTUELLE - Meurtre de Kévin et Sophie : les larmes d'un membre de sa famille bouleversent les téléspectateurs
FEMME ACTUELLE - Meurtre de Kévin et Sophie : les larmes d'un membre de sa famille bouleversent les téléspectateurs
FEMME ACTUELLE - Meurtre de Kévin et Sophie : les larmes d'un membre de sa famille bouleversent les téléspectateurs
Philippe G., un homme de 39 ans, vient d'être condamné à 18 ans de prison après avoir réservé la pire des surprises à sa femme.
PROCES - Deux frères et la compagne de l’un d'eux sont accusés d’avoir séquestré une femme de 18 ans, lui infligeant pendant six semaines des sévices insoutenables
FEU - Cible de menaces par les opposants au centre de migrants qui doit s'installer sur la commune, Yannick Morez a vu son logement et ses voitures incendiées ce mercredi
Plus de quatre mois après un accident d'avion dans le lac Victoria en Tanzanie, un rapport du ministère des Transports a révélé que des signaux d'alerte avaient été envoyés sans que les pilotes ne fassent d'"action corrective".
Féminicide - La femme, née en 1975, était normalienne, agrégée et enseignante en littérature comparée à l’Université Gustave Eiffel de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne)
Pour la neuvième journée de mobilisation contre la réforme des retraites, le mouvement va-t-il connaître un rebond ?
Une Américaine retrouvée morte en 1991 dans le New Jersey a enfin été identifiée, après trois décennies de mystère.
Les propos du président de la République n’ont pas manqué de faire réagir les syndicats d’enseignants, que ce soit sur le remplacement des profs absents, sur les fermetures de classes en zones rurales ou sur la réforme du lycée professionnel.
PROCES - La cour d’assises du Rhône vient de condamner deux hommes à onze et vingt ans de prison pour « viol en récidive avec plusieurs circonstances aggravantes »
Lori Vallow, mère américaine accusée d’avoir tué ses deux enfants, prépare son procès. Mais le juge a d’ores et déjà annoncé qu’elle ne sera pas condamnée à mort si elle est déclarée coupable.
Sur le sol ukrainien - Notre journaliste Diane Regny a assisté au retour à Kiev de dix-sept enfants ukrainiens bloqués six mois dans une colonie de vacances en Crimée russe
ENQUÊTE. L’enquête judiciaire sur la tuerie est loin d’avoir levé tous les doutes sur ce qui a été présenté dès le départ comme le geste d’un raciste « pathologique ».
RÉforme des retraites - En opposition à la réforme des retraites, les syndicats appellent à une nouvelle journée de manifestations. Pour cette neuvième journée de grève, le parcours du cortège parisien doit relier Bastille à Opéra
Football - Youssef Chibhi avait été mis à pied en novembre 2022 par le club de National
Procès - Ce jeudi et vendredi, huit prévenus sont jugés devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour des faits de violences en réunion et d’outrage sexiste qui ont eu lieu dans la nuit du 24 au 25 juin 2022, dans le quartier Saint-Michel
L'expertise d'un médecin nommé parmi un collège de spécialistes est contesté par les avocats de l'islamologue.
VOICI - Tomer Sisley (Balthazar) : qui est Julie Madar, la mère de ses deux enfants ?
La neuvième journée de mobilisation a rassemblé pus de 3,5 millions de personnes dans tout le pays selon les syndicats. Une dixième journée est déjà prévue la semaine prochaine.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est engagé jeudi soir à "mettre fin à la division au sein du peuple" après bientôt trois mois de manifestations massives contre le projet de réforme de la justice en cours d'examen au Parlement.M. Netanyahu, qui était jusque-là resté en retrait sur ce dossier, a annoncé qu'il entrait "en scène" et qu'il était déterminé à faire avancer la réforme, mais qu'il ferait tout pour "parvenir à une solution" acceptable tant pour les défenseurs du projet que pour ses détracteurs. Ses propos n'ont provoqué que des haussements d'épaules chez ses opposants."Nous ne pouvons permettre qu'un différend, aussi aigu soit-il, mette en danger notre avenir commun à tous (...) Les opposants à la réforme ne sont pas des traîtres, les partisans ne sont pas des fascistes", a-t-il déclaré en faisant référence aux invectives favorites de chacun des deux camps à l'encontre de l'autre."Je ferai tout, tout, afin de calmer les esprits et de mettre fin à la division au sein du peuple", a-t-il encore dit.Toute en prenant acte des craintes exprimées par les opposants à la réforme, il a annoncé que le projet de loi modifiant la composition de la commission de nomination des juges serait soumis au vote des députés pour adoption en séance plénière "la semaine prochaine".C'est un des éléments centraux de la réforme, au cœur des inquiétudes de ses détracteurs. Le texte a été amendé ces jours-ci en commission pour en adoucir la teneur en vue de parvenir à un vote plus large, mais sans l'appui de l'opposition.-Sécurité nationale -La réforme vise à accroître le pouvoir des élus sur celui des magistrats. Selon ses détracteurs, elle met en péril le caractère démocratique de l'Etat d'Israël.M. Netanyahu et ses alliés d'extrême droite et ultra-orthodoxes estiment quant à eux la réforme nécessaire pour rétablir un rapport de force équilibré entre les élus et la Cour suprême, qu'ils jugent politisée.Le Premier ministre s'est exprimé après un entretien avec son ministre de la Défense, Yoav Gallant, qui avait initialement annoncé son intention de s'exprimer publiquement en début de soirée.M. Gallant, qui a demandé plusieurs fois à la coalition au pouvoir de faire une pause dans le processus législatif pour permettre des négociations avec l'opposition sur la réforme, a finalement annulé son intervention.Pendant un peu plus d'une heure, les télévisions israéliennes ont évoqué la perspective d'une démission du ministre, ou l'hypothèse d'une explosion de la coalition gouvernementale, l'un des plus à droite de l'histoire d'Israël.Selon la presse israélienne M. Gallant et plusieurs responsables de l'appareil sécuritaire ont mis en garde ces derniers jours le Premier ministre sur les menaces que fait peser selon eux la poursuite du projet pour la sécurité nationale.- Dictateur en devenir -Le président Isaac Herzog a lui évoqué ouvertement un risque de "guerre civile"."Ce soir, Netanyahu a choisi d'ignorer son ministre de la Défense [...] et a choisi de prononcer un discours déconnecté de la réalité, plein de mensonges. C'est de l'irresponsabilité", a déclaré le chef de l'opposition, Yaïr Lapid (centre)."Rien n'a changé sous le soleil et Netanyahu est [toujours] le même" a déclaré Benny Gantz (centre droit), autre figure de l'opposition, regrettant que le Premier ministre "ne soit pas à a hauteur" des enjeux.Jeudi encore, plusieurs dizaines de milliers d'Israéliens ont manifesté contre la réforme au cours d'une nouvelle journée nationale de mobilisation, émaillée de heurts entre manifestants et policiers à Tel-Aviv.Les Drapeaux noirs, un des mouvements à la pointe de la mobilisation a qualifié la prestation télévisée de M. Netanyahu de "spectacle bizarre d'un dictateur en devenir".Les responsables israéliens présentent volontiers leur pays comme "la seule démocratie au Moyen-Orient" mais nombre de critiques, à l'extérieur comme à l'intérieur d'Israël, relèvent le caractère "incomplet" de cette démocratie, compte tenu des discriminations dont continuent de souffrir ses citoyens arabes, du poids de l'institution religieuse, qui entraîne des discriminations entre hommes et femmes, ou encore de la poursuite de l'occupation des Territoires palestiniens."J'ai l'intention d'inscrire les droits individuels dans la loi. Nous garantirons les droits fondamentaux de tous les citoyens d'Israël - juifs et non-juifs, laïcs et religieux, femmes, personnes LGBT. Tout le monde - sans exception", a promis M. Netanyahu dans son discours.dms-mj/fjb
Le rappeur, qui a été condamné à deux ans de prison et a témoigné contre ses anciens camarades de gangs, a été victime mardi d'une violente attaque dans une salle de sport en Floride.