FEMME ACTUELLE - Septicémie : quels sont les symptômes de cette infection bactérienne ?
FEMME ACTUELLE - Septicémie : quels sont les symptômes de cette infection bactérienne ?
FEMME ACTUELLE - Septicémie : quels sont les symptômes de cette infection bactérienne ?
Si certains symptômes peuvent directement faire penser à un cancer de l'ovaire, d'autres en sont moins caractéristiques : c'est ce qu'avancent des chercheurs britanniques dans une nouvelle étude.
VOICI - "N'oubliez pas les paroles" : ému, le maestro Louis évoque le cancer de son père, Nagui fait un magnifique geste
Le cancer du poumon est le troisième cancer le plus fréquent en France. Ce cancer principalement lié au tabagisme est souvent dépisté tardivement. On fait le point sur son diagnostic et sa prise en charge, avec le Pr Nicolas Girard, pneumo-oncologue.
Le mari d'Anne-Sophie Lapix, Arthur Sadoun, s'est confié au sujet de sa maladie dans les colonnes du magazine Elle, jeudi 2 février 2023. L'occasion de saluer le soutien dont a fait preuve la journaliste alors qu'il se battait contre un cancer.
La prestigieuse organisation Cochrane a publié, le 30 janvier, une étude sur l’effet des masques et de l’hygiène des mains dans la transmission des virus respiratoires aigus.
[EPIDEMIE DE GRIPPE FRANCE] Se dirige-t-on vers une reprise de la grippe ? Après quatre semaines consécutives de baisse, les indicateurs de la grippe augmentent dans toutes les tranches d'âge et en particulier chez les 5-14 ans et les 15-64 ans. Santé Publique France rappelle l'importance de l'adoption des gestes barrières par tous permettant de limiter le risque de transmission de ces virus à l'entourage.
Une espèce inconnue de circovirus a été repérée. Les explications de Marc Eloit, responsable du laboratoire Découverte de pathogènes à l’Institut Pasteur.
Pandémie - De plus, ce mercredi, les principales mesures sanitaires de lutte contre le Covid-19 - dont la décrue se confirme - prennent fin, inquiétant certains experts
Rupert Grint a dévoilé la raison pour laquelle il ne s’est pas rendu aux obsèques de Robbie Coltrane.
La commotion cérébrale, provoquée par un choc direct ou indirect à la tête ou au cou, est une blessure fréquente dans le sport, qui nécessite un arrêt de l'activité jusqu'à complète récupération.Qu'est-ce qu'une commotion cérébrale ?Une commotion cérébrale se produit lorsqu’une force externe (un impact direct ou indirect à la tête) provoque une perturbation au niveau du fonctionnement du cerveau. Cette secousse peut être causée aussi bien par un impact direct à la tête, au visage ou au cou, que par un impact à toute autre partie du corps occasionnant une force impulsive transmise au cerveau.L’expression "commotion cérébrale" est souvent utilisée dans le monde de la médecine sportive alors que le terme "traumatisme crânien léger" est plutôt utilisé en milieu hospitalier. "On voit de plus en plus de commotions, dans tous les sports", affirme Jean-François Chermann, neurologue spécialiste du sujet. "Dans le Top 14 au rugby , il y en a une tous les deux ou trois matches". Hormis le rugby, les sports de combat, le football américain, le hockey sur glace, le football, l’équitation et les sports de glisse sont particulièrement à risque.Quels sont les signes et symptômes d'une commotion cérébrale ?Selon l'Institut du cerveau, basé à Paris, les symptômes peuvent être multiples: maux de tête, nausées et vomissements, et diverses atteintes neurologiques comme des pertes de sensibilité, de la motricité ou une aphasie, une somnolence ou des troubles visuels. Selon la gravité du traumatisme, il peut s’accompagner de perte de conscience, immédiatement après le choc ou plusieurs heures ou jours après, par exemple lorsqu’un hématome se forme.Après une commotion, des amnésies transitoires ou des signes de confusion peuvent être présents.Que faire en cas d'accident ?Quel que soit le traumatisme, il convient de consulter un médecin, qui pourra évaluer sa gravité. En cas de perte de connaissance à la suite d'un choc, il faut appeler immédiatement les urgences.Plusieurs examens sont réalisés pour poser le diagnostic d'un traumatisme crânien. Le premier est un examen clinique et neurologique. Le développement dans le temps de certains symptômes chez les traumatisés crâniens comme des maux de tête sévères, des troubles importants de la coordination ou de l’équilibre, des vomissements répétés ou des convulsions, suggèrent une aggravation de l’état cérébral.Quelles sont les conséquences pour le cerveau ?Selon l'Institut des commotions cérébrales, basé à Montréal (Canada), les conséquences immédiates d’une commotion sur le tissu du cerveau comprennent une hyperexcitation des neurones, des microdéchirures des fibres reliant différentes régions du cerveau ou encore une modification de l'oxygénation cérébrale.Classiquement, le syndrome commotionnel évolue favorablement en dix à 14 jours, mais dans 15 à 30% des cas, on observe une persistance de symptômes invalidants.Les chercheurs s'interrogent aussi sur le risque accru de la survenue, à long terme, de maladies neurodégénératives.Que faire après une commotion ?Les jours qui suivront joueront un rôle critique pour la récupération du cerveau. Un repos complet mental et physique est très important dans les 24-48 heures qui suivent une commotion cérébrale. Un sportif qui retourne au jeu avant d’être complètement remis de sa commotion est trois à cinq fois plus à risque de subir une autre commotion cérébrale, selon l'Institut des commotions. "La commotion appartient au traumatisme léger dit bénin mais n’est absolument pas anodine, le joueur doit sortir immédiatement après suspicion de commotion et il faut respecter le repos indispensable avant le retour sur le terrain", affirme M. Chermann. "Tous les symptômes doivent avoir disparu et ne pas réapparaître lors des efforts de plus en plus intenses. Il faut laisser le temps au cerveau de récupérer"."Aujourd’hui, 50% des commotionnés dans le sport restent sur l’aire de jeu or ils risquent une blessure, un nouveau coup sur la tête qui aura pour conséquence de prolonger les symptômes", ajoute-t-il.ito/grd/chc
Une étude menée sur plus de 8000 personnes atteintes de cancers du poumon souligne la hausse du risque quand on consomme du cannabis.
Portée par un nouvel arsenal thérapeutique et une meilleure connaissance de la maladie, la cancérologie a réalisé ces dernières années des progrès spectaculaires, et le champ de la recherche semble encore immense.Provoqué par la transformation de cellules qui deviennent anormales et prolifèrent de façon excessive, le cancer est un fléau vieux comme la vie.Mais les progrès de la recherche ont permis de mieux comprendre cette maladie, cause de près de 10 millions de morts par an dans le monde: on sait désormais que pour un même organe, il n'y a pas "un" mais "des" cancers. Et que pour un même type de cancer, il peut exister différentes tumeurs."Parler d'un cancer du colon ou d'un cancer du sein, ça ne veut rien dire; l'enjeu aujourd'hui c'est de définir à quoi ressemble un cancer sur le plan biologique", explique à l'AFP le médecin Fabrice André, directeur de la recherche au centre anti-cancer Gustave-Roussy.Il existe par exemple trois grands types de cancers du sein, qui ne sont pas réceptifs aux mêmes traitements.Ces dernières années, "le développement des technologies moléculaires a permis de mieux identifier quelles sont les protéines anormales à bloquer" pour chaque type de tumeur, poursuit le Pr André.Cette meilleure compréhension de la maladie a permis l'émergence, dans les années 2000, de thérapies ciblées, visant une mutation génétique spécifique. - Immunothérapie -Auparavant, la chimiothérapie était souvent le seul traitement proposé: or en visant à éliminer les cellules cancéreuses, peu importe leur localisation dans le corps humain, elle pouvait entraîner des effets secondaires.Pour plusieurs types de cancers, comme certaines formes de leucémies, "les thérapies ciblées ont été une révolution", souligne le Pr Bruno Quesnel, directeur de la recherche et de l’innovation de l'Institut national du cancer (Inca).Depuis une dizaine d'années, c'est l'immunothérapie qui est apparue comme le plus important progrès de la cancérologie. Le principe: le patient devient son propre médicament. A l'inverse des chimiothérapies, on ne cible plus les cellules cancéreuses elles-mêmes mais les cellules immunitaires qui les entourent afin de les activer. Reboostées, ce sont ces dernières qui détruisent les cellules tumorales.Cette découverte a valu en 2018 le Nobel de physiologie et médecine, à James Allison, de l'Université du Texas, et Tasuku Honjo, de l’Université de Kyoto.Pour certains cancers, cette découverte a été majeure. Par exemple, avant 2010, le taux de survie des patients atteints d'un mélanome (le cancer de la peau le plus grave) métastatique était très faible. Grâce à l'immunothérapie, l'espérance de vie a gagné jusqu'à dix ans, contre quelques mois auparavant.Mais toutes les tumeurs ne répondent pas à ce traitement, qui peut aussi provoquer des effets secondaires.- Intelligence artificielle -"Nous ne sommes qu'au début de l'immunothérapie", assure le Pr Bruno Quesnel. Les déclinaisons de cette nouvelle arme thérapeutique sont d'ores et déjà nombreuses: anticorps bispécifiques, thérapies cellulaires et géniques (CAR-T cell)..."Il va maintenant falloir réussir à combiner les traitements le plus intelligemment possible", relève Pierre Saintigny, oncologue au centre Léon Bérard de Lyon. "Avec l'immunothérapie, on a monté un étage dans le traitement du cancer, mais il reste encore des marches à gravir pour tous les patients qui n'en bénéficient pas".Les chercheurs peuvent compter sur la capacité des biotechnologies à développer de nouveaux médicaments, toujours plus spécifiques et moins toxiques.Autre pilier sur lequel s'appuyer: le développement de l'intelligence artificielle (IA), qui permet déjà une meilleure définition du pronostic du cancer. Grâce à elle, "on va pouvoir identifier quels patients peuvent bénéficier d'un traitement court", assure Fabrice André. Avantage: une désescalade thérapeutique pour les patients et une baisse des coûts pour la collectivité.Le cancer du sein a été pionnier pour l'utilisation de l'IA, qui doit maintenant profiter à d'autres cancers.Un autre espoir réside dans la capacité à détecter très précocement une tumeur dans l'organisme. "On le fait déjà aux Etats-Unis en regardant l'ADN grâce à une simple prise de sang mais il y a encore beaucoup de faux positifs", relève Fabrice André.Avant la généralisation d'une telle technique, la prévention reste à ce jour la meilleure manière d'éviter une grande partie des cancers.ito/fmp/swi
Une perte d’acuité auditive provoque des difficultés à entendre les sons. En l’absence de prise en charge, une baisse de l’audition peut être gênante dans la vie quotidienne.
VOICI : Anne-Sophie Lapix "admirative" de son mari : elle évoque le combat d'Arthur Sadoun contre le cancer
Maladie - Le bovin infecté « n’a pas pénétré la chaîne alimentaire et ne pose pas un problème de sécurité alimentaire », a assuré le ministre de l’Agriculture néerlandais Piet Adema
Mardi 31 janvier 2023, Olivier Véran était invité sur le plateau de Face à Baba, sur C8. Attaqué et insulté par Stéphane Turillon, un restaurateur en détresse, le porte-parole du gouvernement a perdu son calme.
Peu de temps après avoir débuté son emploi saisonnier dans un restaurant de Méribel, un jeune homme du nom de Maël Briand a disparu le 20 janvier. Cela fait près de deux semaines qu'il n'a plus donné de signe de vie.
En fin d’année 2022, la fermeture définitive de Camaïeu avait ému toute la France. Quelques mois plus tard, c’est une autre enseigne de prêt-à-porter tricolore qui baisse le rideau.
Officiellement reconvertie dans le milieu du X, Amandine Pellissard vient de connaître sa première bévue : des utilisateurs des plateformes payantes sur lesquelles elle partage ses photos coquines les ont fait fuiter. Ce qui a mis l'ancienne star de la télé-réalité hors d'elle.
L'avocat de la famille de Sihem, retrouvée morte ce jeudi 2 février, a fait quelques confidences lors d'une conférence de presse. Il a notamment apporté des précisions sur la relation entre l'adolescente et son meurtrier.