Durant un festival, voici le principal "bobo" des festivaliers. Et ce n'est pas du tout celui qu'on attendait !

Daniel Duarte

Vivre de musique et de bière (plus ou moins) fraîche. Voilà le quotidien de nombreux festivaliers le temps d'un week-end. Ajoutons à cela des repas pris sur le pouce, à base de burger, chips ou sandwich, des conditions météo parfois désastreuses, un sommeil peu réparateur et une hygiène discutable. Les festivaliers sont des superhéros mais ils ont leur kryptonite : les hémorroïdes. C'est ce qu'explique la gérante de la pharmacie de Carhaix, petite ville finistérienne qui a accueilli 346 000 festivaliers lors des Vieilles Charrues 2023.

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"Le problème numéro 1, ce sont les hémorroïdes, confie Yveline Briand, gérante de pharmacie à Carhaix, à France Live. Nos festivaliers abusent peut-être un peu d’alcool, ne mangent pas forcément très bien et restent beaucoup debout." Autant d'éléments qui favorisent l'apparition de ces petites protubérances. Si elles procurent tiraillements, brûlures et démangeaisons elles restent, la plupart du temps, sans danger.

Outre la consommation d'alcool et d'aliments gras ou épicés, les troubles du transit (et notamment la constipation) sont des facteurs qui peuvent "favoriser ou aggraver les symptômes hémorroïdaires" selon le site de l'Assurance maladie. Dès lors, mieux vaut commencer à manger quelques fibres (produits céréaliers, légumineuses, fruits (...)

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