Elle fête son divorce en brûlant sa robe de mariée

Capture d’écran vidéo/KMOV
Capture d’écran vidéo/KMOV

Une femme a fêté son récent divorce en organisant une vente de garage symbolique et en brûlant sa robe de mariée.

Briana Barksdale, qui était prise au piège dans une relation violente, a organisé une “vente de de garage spéciale divorce” afin de se débarrasser des souvenirs qui la hantaient. Cependant, la pièce maîtresse, une robe de mariée blanche volumineuse qu’elle avait portée 13 ans auparavant, n’était pas à vendre.

“Je fais ça pour toutes les femmes qui ont été coincées dans une relation violente, qui ont été blessées, qui auraient dû s’échapper, mais qui ne savaient pas comment”, a-t-elle confié aux caméras de la chaîne d’information, avant de mettre le feu à la robe avec de l’essence.

Briana Barksdale a allumé son briquet au niveau de l’ourlet de la robe dans l’allée de sa maison au Texas, entourée d’amis et de sa famille.

“Brûle, bébé, brûle”, chantait la divorcée alors que la robe était en flammes.

“C’était une situation très difficile, très compliquée. Des procédures criminelles sont encore en cours, donc je ne peux pas trop en parler, mais oui, pas un mec fantastique”, a-t-elle confié à un journaliste de KMOV.

Briana Barksdale aurait finalisé son divorce le 31 janvier et vendu la plupart des possessions de son ex-mari lors de la vente, d’après la chaîne d’infos.

USA Today confie que la divorcée a vendu de nombreux objets, comme un ordinateur à 25 euros et d’autres articles à 50 centimes.

Carmelia Ray, coach en relations et entremetteuse confie que les réseaux sociaux permettent aux gens de s’ouvrir davantage à propos de leurs divorces.

“Nous nous sommes débarrassés de l’aspect privé des relations, et l’idée du divorce est banale”, confie-t-elle à Global News. Elle précise que de plus en plus de personnes sont prêtes à quitter une relation qui ne fonctionne pas, même si le divorce est souvent considéré comme un échec.

“Il faut être très courageux pour mettre fin à une relation”, a-t-elle confié.

Jessica Ankomah