Cet incontournable des plateaux de fruits de mer risque de disparaître

Cet incontournable des plateaux de fruits de mer manque à l'appel. Adobestock
Cet incontournable des plateaux de fruits de mer manque à l'appel. Adobestock

Un ciel au beau fixe, une météo clémente et des températures dignes d'un mois de septembre : si les vacanciers apprécient la douceur de ce mois de novembre, les agriculteurs et pêcheurs français n'affichent pas le même sourire lorsqu'on leur parle de réchauffement climatique.

Si vous êtes plutôt team mer que montagne, ces dernières semaines ont dû être particulièrement agréables pour vous. Les lunettes de soleil, la crème solaire et les débardeurs étaient (encore) de sortie. Et pour cause : dans certaines régions de France, on atteignait les 20°C en novembre. Si certains, à l’image de votre oncle qui continue de faire des barbecues jusqu’aux derniers rayons du soleil, profitent à fond de cette douceur, il y en a d’autres qui ne voient pas ces températures d'un bon œil.

La production mise à mal par les températures

La météo clémente a permis de profiter un peu plus longtemps des dernières tomates et courgettes de la saison. Tant mieux. Mais, vous vous en doutez, cela soulève d'autres enjeux qui peuvent avoir des conséquences dramatiques pour l'agriculture française. A cause de la sécheresse, on ne pouvait plus déguster certains fromages, notamment le Salers AOP dont la production a dû être stoppée à cause de la sécheresse. Du côté des producteurs de Munster, de fourme d’Ambert et de bleu d’Auvergne, même son de cloche. Une situation complexe qui a obligé la filière a repensé le cahier des charges strict de l’AOP pour l’assouplir pour s'adapter au réchauffement...

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