Publicité

L’âge des glaces

Cet été, elles se déclinent dans tous les styles et dans tous les parfums. Plongée gourmande dans les bacs.

Il n’y a pas si longtemps, chez le marchand de glaces, on choisissait entre vanille, fraise ou chocolat. Désormais, il n’est pas rare d’entendre, à l’heure du goûter : « Tu préfères coco-violette ou curcuma-gingembre ? » Les branchés se ruent sur les « soft serves » – glaces molles – tandis que les gourmets élisent les gourmandises signées par de grands chefs. « Le secteur vit une évolution phénoménale, comme en ont connu la pâtisserie et la chocolaterie il y a quelques années », confirme David Wesmaël, glacier MOF (meilleur ouvrier de France), fondateur de La Glacerie Paris. Ce créatif propose de nouveaux modes de consommation (tube, tablette, barre, gâteau, etc.) et constate, au vu de son chiffre d’affaires qui monte en flèche (+ 50 % en un an !), que cela correspond à l’attente de la clientèle. Tant et si bien qu’en 2020 le marché en France a vu ses ventes augmenter de 10,3 % en valeur, atteignant 1,26 milliard d’euros*. Au regard des nouveautés glacées testées pour vous, 2021 devrait également tenir ses promesses…

*Source NielsenIQ.

Lire aussi:La magie des meilleurs desserts de France

LES PÂTISSIÈRES Pâtissier avant d’être glacier, David Wesmaël a marié ses savoir-faire pour composer ses gâteaux glacés, comme la tarte givrée et meringuée aux deux citrons: pâte sablée, citrons jaune et vert déclinés en confit, en mousse, en caramel… Addictif! (49 euros pour 6 personnes, laglacerie.fr). Christophe Michalak , lui, a transformé le Paris-Brest et la tarte au chocolat en glaces gourmandes et régressives (6,50 euros le pot de 120 g, christophemichalak.com). Quant à Pierre Hermé, amoureux du Japon et des fleurs de cerisier, il en a recréé la saveur pour son gâteau et sa glace Jardin japonais, associant les griottes, la(...)


Lire la suite sur Paris Match