Notre manière de manger en dit beaucoup sur nos émotions

La nourriture peut être un réconfort, après un effort intense, un chagrin ou une immense joie. Mais elle peut également être une souffrance, notamment chez les personnes souffrant de troubles du comportement alimentaire. Si émotions et nourriture sont si intimement liées, c’est parce que le cerveau et le système digestif fonctionnent en permanence ensemble, explique le magazine Elle. Leur travail conjoint permet de réguler les cycles de la faim. Comme l’explique la professeure de psychologie Leslie Frazier dans Fiu News, nous avons tous une personnalité de mangeur·euse différente. Selon elle, il en existe quatre.

Si vous mangez lorsque vous ressentez une émotion intense comme le bonheur, le stress ou la tristesse, vous êtes un·e mangeur·euse interne. “Cela signifie que nous ne prêtons pas entièrement attention au moment où notre corps dit qu’il a faim. Nous mangeons lorsque notre esprit et nos émotions nous disent de manger”, explique la psychologue.

Certaines personnes mangent en fonction de ce qu’elles voient. Ces mangeur·euses externes vont être attiré·es par les publicités ou par le fait de voir les autres manger certains produits spécifiques autour d’elles·eux.

“Les mangeur·euses restreints se concentrent sur la qualité et la quantité de ce qu’ils consomment.” Ils vont réussir à supprimer des catégories entières d’aliments de leur quotidien pour perdre du poids ou gagner en muscles. Mais attention aux critères que l’on s’impose ! Scruter les calories n’est pas toujours très (...)

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