“J’avais trop mal” : Lorie Pester revient sur son hystérectomie pour contrer les douleurs d’endométriose
Lorie Pester a beaucoup parlé dans les médias du mal dont elle souffre. Pendant de nombreuses années, l’endométriose lui a gâché la vie et a rendu son rêve de maternité très difficile à atteindre. En août 2020, elle a donné naissance à une petite fille, Nina. Mais après l’accouchement, l’endométriose est revenue, plus forte encore. Alors, la chanteuse, actrice et réalisatrice a décidé de se faire retirer l’utérus. Elle revient, pour Gala, sur ce choix compliqué mais nécessaire. “Même si je savais avec mon compagnon qu’on ne voulait plus d’autre enfant, car on a déjà un garçon et une fille [son conjoint, Yann Dernaucourt, a un fils de 11 ans, d’une précédente union, NDLR], cela reste difficile.” Mais l’hystérectomie semblait être le meilleur choix possible pour Lorie Pester tant la douleur était vive. “Pendant la grossesse, il n’y a plus de douleurs parce qu’il n’y a plus de règles. Mais après la naissance de Nina, elles sont revenues, et pire qu’avant, ça se répercutait dans mes jambes, dans le dos. J’étais si fatiguée que je tombais dans les pommes. J’avais comme une boule de pétanque dans le ventre… Depuis l’ablation, je revis”, dit-elle.
Lorie Pester explique même que la douleur qu’elle ressentait lors de ses règles était si vive qu’en comparaison, les contractions le jour de son accouchement lui ont semblé dérisoires. Mais subir une ablation de l’utérus n’est pas chose facile. Rien que pour tout le symbole que cet organe représente chez la femme. “Je suis allée voir une psy (...)