Publicité

Nouveau bonus-malus écologique : découvrez les véhicules concernés

Blue Planet Studio/Adobe Stock

Le bonus écologique aveugle, c’est fini. Mardi 16 mai, le gouvernement a présenté en détail les évolutions prévues sur les aides à l’achat des véhicules électriques. Avant la fin de l’année 2023, le coup de pouce sera conditionné à l’empreinte environnementale des voitures. De facto, cette mesure devrait privilégier les automobiles et les batteries fabriquées sur le sol européen. Pour financer les autres volets du projet de loi “industrie verte”, le gouvernement prévoit également de déplafonner le malus.

Chaque année, le bonus écologique coûte environ 1,2 milliard d’euros à l’État. Mais il ne profite pas seulement aux marques européennes… Le succès des Dacia Spring et des Tesla Model 3 produites en Chine le prouve. "Depuis le début de l’année, 40 % de ce bonus est parti en Asie”, s’indigne le ministre de l’Économie Bruno Le Maire. “Nous n’avons pas vocation à financer sur fonds publics le développement des usines en Asie”, a ajouté le ministre.

“Nous ne modifions pas à ce stade le montant du bonus”, explique l’entourage du ministre. Donc les subventions s’échelonneront toujours de 5.000 à 7.000 euros en fonction des conditions de revenus. En revanche, le catalogue de véhicules éligibles risque d’être resserré. “La mesure proposée vise à exclure du bonus automobile les véhicules dont la production a une faible performance environnementale, et ce avant la fin de l’année 2023”, résume le ministère de l’Économie.

Plusieurs critères vont être pris en compte pour juger le bilan carbone (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Les Hauts-de-France, nouvel eldorado de la voiture électrique
Les Tesla finalement éligibles au nouveau bonus écologique ?
À Dunkerque, près de 7 milliards d’euros investis dans les batteries
Dacia Spring, Tesla Model 3, MG4… combien pourraient-elles vous coûter avec le nouveau bonus écologique d'Emmanuel Macron ?
Cette nouvelle application propose de dénoncer les infractions des automobilistes aux autorités