Oeuf, farine et claque : quand les présidents sont pris pour cibles !

Lors d’un déplacement en Charente, un tireur d’élite de la gendarmerie voulant changer de position mais ayant trébuché a accidentellement tiré lors d’un discours du président.

Le président a été ciblé le 14 juillet 2002 par un homme tenant une carabine 22 LR. Maxime Brunerie, militant d’extrême-droite, a été arrêté et condamné à sept ans de prison pour tentative d’assassinat.

Lors d’une visite d’état à Jérusalem en 1996, le président de la République n’a pas caché sa colère concernant le service de protection israélien un peu trop virulent envers les journalistes et les photographes. Il a notamment déclaré : « Ce n’est pas une méthode, c’est de la provocation. »

Le futur chef d’état a été accueilli par un jet d’œuf lors de son passage au salon de l’agriculture le 1er mars 2017.

Le président a été également giflé lors d’un déplacement à Valence en juin 2021.

Fraîchement réélu pour un second mandat, le chef d’état a été ciblé par un jet de tomates cerises lors d’un déplacement sur un marché de Cergy.

Quelques semaines avant d’être élu, le candidat du PS a été enfariné alors qu’il signait la charte de la Fondation Abbé Pierre.

L’une des phrases les plus emblématiques du dirigeant est le fameux « Casse-toi, pauv' c** ! » du 23 février 2008 lors du salon de l’agriculture, phrase prononcée après qu’une personne a refusé de lui serrer la main en disant : « Ah non, touche-moi pas ! Tu me salis ! »

Alors en déplacement officiel à Dublin, le chef d’état avait reçu un jet d’œuf sur sa voiture de la part d’un expatrié.

En 2011, le président de la République a été agressé par un employé municipal lors d’une visite dans le Lot-et-Garonne.