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Olivier Dubois : les quelques libertés que le journaliste a pu obtenir durant sa captivité

Depuis son atterrissage à Villacoublay (Yvelines), l’ancien otage Olivier Dubois a fait quelques confidences à la presse sur ses conditions de détention. Visiblement en forme, il raconte les quelques libertés qu’il est parvenu à obtenir de la part de ses geôliers, sa passion pour le journalisme toujours intacte et sa joie de retrouver ses proches.

Il était le dernier otage français détenu dans le monde. Sept cent onze jours de captivité plus tard, le voilà enfin libre, sans plus aucune chaîne pour l’entraver. Ses geôliers étaient venus lui donner la bonne nouvelle, le 7 mars dernier, en lui faisant écouter un message audio qui disait simplement : « Tu vas sortir dans quinze jours, prépare-toi. »

Après des semaines d’attente, le message devient réalité. Olivier Dubois a atterri, ce mardi 21 mars, sur le tarmac de l’aéroport militaire de Villacoublay. Dès que l’ancien otage a posé un pied à terre, il s’est précipité dans les bras de son père, puis de sa sœur, sous les yeux du président de la République Emmanuel Macron.

Dans ces premiers moments de liberté, le journaliste s’est d’abord laissé aller à des retrouvailles émues avec plusieurs membres de sa famille dont sa compagne et ses enfants dans l’intimité d’un salon de l’aéroport. Ses collègues journalistes de « Libération » - Olivier Dubois était correspondant au Mali pour le quotidien – ont également participé à ce moment d’émotion. L’occasion pour le journal d’être le premier à recevoir les confidences de l’ex-otage sur sa détention au sein d’un groupe islamiste au Mali, suivi par le journal de France 2.

Du sport et de la cuisine pour maintenir l’espoir

Devant les caméras, il est apparu les traits détendus, visiblement souriant. C’est ce qui transpire le plus des images...

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