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Une organisation américaine inclut les couples homosexuels dans la définition de l'infertilité

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L'infertilité n'est, selon une organisation américaine, plus seulement une maladie. En avril 2023, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) dévoilait un rapport dans lequel elle estimait qu'environ 17,5 % de la population adulte, soit environ une personne sur six dans le monde, était touchée par l'infertilité. Définie comme une "maladie du système reproducteur masculin ou féminin" qui se traduit "par l’incapacité d’obtenir une grossesse après douze mois ou plus de rapports sexuels réguliers non protégés", l'infertilité n'est pourtant pas que cela d'après la Société américaine de médecine reproductive (ASRM). C'est aussi "une condition ou un statut".

Le 15 octobre dernier, cette organisation américaine à but non lucratif spécialisée dans la médecine reproductive, a ainsi décidé de mettre à jour sa définition de l'infertilité en y incluant la communauté LGBT. Et ce, afin de "garantir que toute personne cherchant à fonder une famille ait un accès équitable aux traitements et aux soins contre l'infertilité". "Cette définition révisée reflète que toutes les personnes, quel que soit leur état civil, leur orientation sexuelle ou leur identité de genre, méritent un accès égal à la médecine reproductive", explique ainsi Jared Robins, le PDG de l'ASRM.

Outre l'accès égal à la médecine reproductive, cette définition vise également à garantir la prise en charge de toute personne ayant besoin d'une "intervention médicale, mais sans s'y limiter à l'utilisation de gamètes ou d'embryons de donneurs" (...)

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