Ostéopathe animale, gendarme, actrice… Ces métiers surprenants exercés par les candidates de Miss France 2025
Ce samedi 14 décembre, à l’Arena Futuroscope de Poitiers (Vienne), 30 jeunes femmes venues de France métropolitaine et d’Outre-mer tenteront de toucher le cœur des Français pour remporter le titre de Miss France. L’occasion de se pencher sur les professions, parfois atypiques, des candidates régionales.
Le jour J est arrivé ! Ce samedi 14 décembre, Eve Gilles devra céder son écharpe de Miss France à une nouvelle jeune femme. De son côté, la pétillante brune originaire du Nord–Pas-de-Calais, qui s’était démarquée l’année passée pour son naturel et ses cheveux courts, devrait reprendre ses études pour réaliser le métier de ses rêves, comme elle l’a fait savoir à Ici Paris : « En parallèle, je vais préparer le concours de Miss Univers. Mais mon but reste de devenir biostatisticienne. » Et d’ajouter avec enthousiasme : « Peut-être qu’avec ma notoriété, je susciterai des vocations auprès des filles, car les métiers autour des mathématiques sont encore très masculins. »
Miss France 2025 : ces métiers atypiques exercés par les Miss régionales
En souhaitant exercer le métier de biostatisticienne, Eve Gilles s’est démarquée à Miss France. D’ailleurs, depuis l’assouplissement des règles du concours il y a deux ans, ayant notamment permis de lever la limite d’âge pour la participation, les candidates déjà bien ancrées dans la vie active sont devenues plus nombreuses. Cette année encore, certaines Miss régionales ont ainsi surpris par leur profession. Parmi elles, Manon Le Maou, Miss Franche-Comté. À 28 ans, celle-ci est sous-officière de carrière dans la gendarmerie. Un métier qui aurait pu lui coûter la vie, comme elle l’a rapporté à nos confrères du Parisien :« Il y a deux ans,...