Un père sur dix souffre de dépression post-partum, comment repérer les signes ?
De plus en plus discutée et reconnue aujourd’hui, la dépression post-partum ne touche pas que les femmes. Un père sur dix en souffrirait ainsi que d’anxiété, selon plusieurs études. Des symptômes qui, s’ils sont aujourd’hui mieux traités chez les femmes, peinent à être reconnus chez les pères. Les pédiatres les encouragent aujourd’hui à avoir le même suivi que les mères pendant les visites de contrôle, puisque la santé mentale des parents affecte grandement le développement de l’enfant.
Chez les mères, la dépression post-partum peut se déclencher avant la naissance de l’enfant, mais apparaît généralement entre quatre à six semaines après l’accouchement. Mais chez les pères, celle-ci peut se déclencher dès le premier trimestre de la grossesse, ainsi que lorsque l’enfant est âgé de trois à six mois, selon une étude chinoise de 2019 publiée dans le Journal of Affective Disorders.
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Plusieurs facteurs peuvent augmenter les risques de dépression post-partum, comme les changements hormonaux que les hommes peuvent également subir après la naissance d’un enfant, telle que la baisse de la testostérone. La dépression du co-parent peut également affecter les pères : près de la moitié des pères dont le co-parent souffre présentent des signes également. Un historique personnel ou familial de dépression, des difficultés (...)
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