La Photo parfaite (M6) - Michel Sarran : "J’étais assez surpris que l’on me propose cette émission..."

Renaud CORLOUER/M6

Pour quelles raisons avez-vous décidé de troquer vos casseroles pour un appareil photo ?

Michel Sarran : Comme tout un chacun, j’aime bien la photographie, d’ailleurs, j’avais un Reflex quand j’étais jeune. Cela me plaisait de me replonger dans cet univers-là. Cela fait quand même rêver de se mettre dans la peau d’un photographe ! J’étais aussi assez excité de sortir de ma zone de confort et de mon domaine de prédilection.

Mais vous êtes ici en compétition avec cinq autres célébrités : Adriana Karembeu, Antoine Duléry, Denitsa Ikonomova, Alizé Lim et Black M. Les connaissiez-vous ?

Pas du tout. J’étais assez surpris que l’on me propose cette émission, car je ne me considère pas comme une personnalité ! Avant de rencontrer toutes ces célébrités, je n’en menais pas large. Mais, dès le départ, on s’est tous très bien entendus. On n’était pas vraiment dans la compétition, c’était plutôt une colonie de vacances ! On a beaucoup rigolé.

À lire également

"Je l'ai vraiment en travers" : Michel Sarran prend à partie le Guide Michelin après la perte de sa deuxième étoile

Existe-t-il des points communs entre la cuisine et la photographie ?

Oui ! Même si la photo est un instantané, le professionnel travaille beaucoup avant de prendre un cliché. Il ne laisse rien au hasard. C’est pareil en cuisine : pour envoyer un plat, il faut que tout soit parfait, depuis la cuisson des aliments jusqu’au dressage de l’assiette. Dans les deux cas, la créativité ne peut s’exprimer que lorsque l’on maîtrise la technique, ce qui demande un long travail d’apprentissage.

Vous aviez l’habitude d’être juré dans Top Chef. Qu’avez vous éprouvé en vous retrouvant, à votre tour, jugé ?

Dans Top Chef, je jugeais des cuisiniers sur leur métier. Là, on est jugé sur un exercice très nouveau pour nous. C’est donc forcément un peu stressant au départ. Mais nos deux jurés, Aline Deschamps et Renaud Corlouër étaient hyper-bienveillants, toujours dans l’échange. C’était très formateur et enrichissant !

Dans ce concours, vous défendez les couleurs de l’association Le Baobab…

Oui, je suis le parrain de cette associat...

Lire la suite sur Télé 7 Jours

A lire aussi