Dans un communiqué publié par l’Académie nationale de médecine, des médecins alertent sur les potentiels dangers d’une pose de vernis semi-permanent. Explications.

À Paris, comme dans chaque grande ville, les salons de manucure pullulent. En 10 ans, le secteur de l’onglerie a connu un essor très important. En quelques chiffres : le marché international de l’ongle a enregistré une croissance de 9,5 %, soit une valeur estimée à 13 milliards d’euros en 2024, l’onglerie compte pour 15 % du marché de l’esthétique et touche aujourd’hui tous les âges de 17 à 90 ans. Parmi les prestations les plus demandées, le vernis semi-permanent se hisse en haut du classement. Pourquoi un tel succès ? Ce gel acrylique résiste (presque) à tout et tient entre 2 à 3 semaines. Des avantages considérables sur le vernis classique ou les faux ongles. Le problème ? Pour que la magie opère, il est nécessaire d’utiliser une lampe UV afin de sécher et fixer chacune des quatre couches de vernis appliquées. Un outil qui selon l’Académie nationale de médecine, « émet des rayons UV de type A (UVA) qui pénètrent profondément dans la peau et sont connus pour favoriser le vieillissement, mais surtout le développement de cancers de la peau ». Pour rappel, le Centre international de recherche sur le cancer a classé les UVA comme cancérogène du groupe 1. Pour aller plus loin, l’Académie nationale de médecine a recensé plusieurs types d’effets secondaires induits par les vernis semi-permanents. Parmi eux, des réactions cutanées allergiques, des atteintes mécaniques des ongles ainsi que trois cas de cancers cutanés....

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

A lire aussi

• Après Lady Diana, Kate Middleton porte elle aussi ce vernis interdit

• Un vernis à ongles de cette célèbre marque se vend toutes les 6 secondes dans le monde

• Vernis printemps-été 2023 : voici la couleur et la manucure les plus tendances

• Lady Diana : ce vernis interdit qu’elle a porté après sa rupture avec Charles

• Consultez votre horoscope sur ELLE