Punaises de lit : le ministre de la Santé estime que la situation ne justifie pas « une panique générale »
Mardi sur France Inter, le ministre de la Santé a déclaré que la présence signalée de punaises de lit dans plusieurs lieux publics n'est pas « un motif à une panique générale ». « On n'est pas envahi par des punaises de lit », a assuré Aurélien Rousseau, avant de reconnaître que la situation est toutefois difficile pour ceux qui en souffrent, en concédant que « quand vous avez des punaises de lit, c'est l'enfer ». Il a exprimé sa préoccupation concernant les entreprises qui facturent des tarifs élevés, allant jusqu'à 2 000 ou 3 000 euros pour éliminer les punaises de lit, qualifiant cela d'« abus ». Le ministre de la Santé souhaite que le Gouvernement puisse travailler pour limiter ces tarifs et a souligné l'existence de 450 à 480 « professionnels agréés » dans ce domaine.
Aurélien Rousseau a également tenu à préciser que la présence de punaises de lit n'avait « rien à voir avec l'immigration », en réponse à une question posée par Pascal Praud sur CNews.
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Aucune punaise dans le métro ?
En ce qui concerne les transports en commun, une inspection mandatée par la RATP pour vérifier la présence de punaises de lit dans le métro parisien a conclu qu'il n'y avait aucun cas avéré de ces insectes dans les rames de voyageurs ou les cabines de conduite signalées. « Toutes les vérifications réalisées confirment l'absence de nuisibles », affirme un document de la direction ...
