Comment remplacer le buis au jardin ?

Très esthétique et décoratif, le buis est un arbuste incontournable des jardins ou des balcons pour apporter du rythme et de la verdure toute l’année. Facile à vivre et nécessitant peu de soin, le buis fascine les jardiniers même si depuis quelques années, il subit l’attaque d’insectes et de maladies qui le font disparaître petit à petit. Quels sont ces ravageurs et quels végétaux alternatifs peut-on cultiver pour remplacer le buis ?

Pour structurer un jardin, rien de plus élégant qu’un buis taillé comme élément décoratif. En topiaire, en haie, en bordure, en allée, en sujet isolé ou en brise vue, le buis est un arbuste au feuillage persistant, vert toute l’année et qui demande peu d’entretien. Il est donc parfait pour aménager un jardin ou un balcon. Malgré tout, il reste sensible aux insectes et champignons. Quels autres végétaux, proches du buis, planter en pleine terre ou bien en pot ?

Pourquoi remplacer le buis au jardin ?

iStock-831419564-NAPA74-12418
iStock-831419564-NAPA74-12418

©NAPA74/iStock

Le buis (Buxus sempervirens) est un arbuste au feuillage persistant que l’on retrouve souvent dans les jardins à la française ou les jardins anglais. Il demande peu d’entretien et permet de structurer facilement les espaces verts. Avec une croissance rapide, le buis habille le jardin en un clin d’œil. Malheureusement, il s’avère aussi sensible et doit parfois faire face à des maladies et des insectes qui causent des dommages irréparables. Il subit des attaques fréquentes de ravageurs qui en seulement quelques jours, peuvent réduire à néant l’arbuste. Le jardinier doit être très vigilant.

Quelles maladies attaquent le buis ?

iStock-1034482158-MaYcaL-1248
iStock-1034482158-MaYcaL-1248

©MaYcaL/iStock

Lorsqu’un arbuste se dessèche sur place avec un feuillage qui jaunit ou bien que les feuilles se couvrent de taches claires, vous pouvez craindre la présence d’un champignon dans l’arbuste. Le dépérissement du buis peut donc venir de maladies cryptogamiques comme...

Lire la suite de l'article sur Elle.fr

A lire aussi