Voici les risques de l'insomnie, selon une étude (et ça fait peur !)
73%. C’est le pourcentage de Français qui auraient des troubles du sommeil au moins une fois par nuit, comme le précise Livi, site spécialisé dans la consultation médicale. Et cela n’annonce rien de bon pour notre santé cérébrale. C’est le constat brutal d’une récente étude menée par le chercheur Roger Wong, professeur adjoint au Département de Santé publique et médecine préventive à la SUNY Upstate Medical University à New York.
Un lien étroit entre l'insomnie et la démence
Selon le média StudyFinds, spécialisé dans les études, ce rapport fait état d’un lien scientifique entre l’insomnie de maintien de sommeil et les risques de développement de démence en vieillissant. Le chercheur a expliqué : "Nous nous attendions à ce que l'insomnie d'initiation au sommeil (difficulté à s’endormir) et l'utilisation de somnifères augmentent le risque de démence, mais nous avons été surpris de constater que l'insomnie de maintien du sommeil (difficulté à se rendormir) diminuait le risque de démence", indique l’expert. Pour obtenir ce constat, les chercheurs ont étudié les données de la National Health and Aging Trends Study (NHATS), qui a étudié, durant 10 ans, un échantillon de participants présentant des troubles du sommeil en les comparant à des données récoltées sur la démence. Selon l’étude, l’insomnie toucherait davantage les personnes âgées : “Les personnes âgées perdent le sommeil à cause d’une grande (...) Ce jour serait le pire de la semaine pour un rencard avec votre crush selon des experts
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