Santé mentale : quel est le comportement à oublier pour préserver son bien-être ?
Être heureux·se, c’est que nous souhaitons quel que soit notre genre, notre âge ou notre métier. Ce n’est pas toujours facile puisque nous ne vivons pas au royaume des Bisounours, la vie est remplie de difficultés, parfois de coups durs, d’échecs. Le stress, l’anxiété, l’angoisse peuvent aussi s’inviter à la fête de la vie et clairement, ce ne sont pas les meilleurs pour mettre l’ambiance. Heureusement, en chacun de nous et avec de l’aide, nous possédons des ressources pour avancer, nous relever. Mais il y a un comportement toxique que nous devons faire disparaître selon des experts de la santé mentale : celui de vouloir être parfait·e.
Comme on peut le lire dans QG, être parfait·e nous impose plus de contraintes que de liberté. Pensez constamment à comment se montrer le·la plus productive au bureau, le·la plus dynamique, le·la plus épanoui·e pollue à la longue notre cerveau et nous fatigue. Personne n’est parfait, il faut l’admettre. Il faut aussi accepter l’échec pour ne pas entraver notre santé mentale et notre équilibre. Car tout faire et tout anticiper ne laisse aucun moment de répit, or, le repos physique et moral sont importants pour notre bien-être.
Sur le même sujet ⋙ Faire semblant d’aller bien peut nuire à votre santé mentale, voici pourquoi⋙ Êtes-vous une personne toxique avec vous-même ? 5 signes qui doivent vous alerter
Et voici la question à un million d’euros : comment éviter de penser à la perfection dans un monde qui l’exige ? Pour les experts en santé mentale, (...)
(...) Cliquez ici pour voir la suite
Voici combien de fois vous devriez laver vos draps en automne et en hiver pour une meilleure hygiène
Lire des livres présente deux avantages inattendus pour notre corps et notre santé mentale
Si vous voulez lui montrer votre soutien, évitez de dire ces phrases à une personne en deuil
On pourrait influencer facilement le contenu de nos rêves grâce à cette technique, selon une étude allemande
Comment le “Summer Body” a ruiné l’adolescence des Millenials et leur rapport à leur corps
