Selon une étude, cette mesure d’hygiène de vie pourrait aider à lutter contre la dépression post-partum

Femme avec son bébé

La dépression du post-partum, à ne pas confondre avec le « baby blues », peut se manifester à tout moment pendant l’année suivant la naissance du bébé. Une étude révèle que cette habitude de vie déjà recommandée pendant la grossesse serait susceptible d’en réduire les symptômes.

L’arrivée d’un bébé est un grand bouleversement dans la vie des parents, pour la mère et aussi pour le père. Parfois les émotions négatives prennent le dessus : fatigue, déprime, tristesse, voire anxiété, culpabilité… Les jeunes mamans peuvent ainsi développer une dépression post-partum pendant les semaines et les mois suivant l’accouchement. Elle se manifeste en général progressivement avec un ou plusieurs symptômes comme : une sensation de manque d’énergie, des difficultés à s’occuper de son bébé, une incapacité à réaliser les tâches du quotidien, une perte de plaisir, parfois même dans sa vie sociale, une profonde tristesse sans raisons apparente, des larmes, des pensées négatives, comme de la culpabilité, ou un sentiment d’incompétence ou encore des difficultés à dormir, souvent à cause de l’anxiété ou du stress. Comme le précise le ministère de la Santé à ce sujet, « la dépression post-partum peut durer des mois, et parfois même se prolonger au-delà d’un an. » Et ce sachant que près d’une mère sur cinq est touchée dans les 4 semaines qui suivent l’accouchement. « Cette maladie peut toucher tout le monde. Il ne faut pas en avoir honte. », ajoute l’organisme.

Dans le traitement de la dépression du post-partum, une prise en charge précoce par une sage-femme, le médecin traitant, un psychiatre et un psychologue, en ambulatoire, est le plus souvent suffisante. Les patientes peuvent...

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