« She-Hulk : Avocate » : Que vaut la dernière série Marvel ?

Tatiana Maslany incarne Jennifer « Jen » Walters, alias She-Hulk.  - Credit:Marvel Studios / Marvel Studios
Tatiana Maslany incarne Jennifer « Jen » Walters, alias She-Hulk. - Credit:Marvel Studios / Marvel Studios

Dans la famille Hulk, Marvel nous présente dès aujourd'hui la cousine, Jennifer Walters. Cette avocate new-yorkaise rêve d'une carrière florissante, mais le destin va en décider autrement. Après un accident de la route en compagnie de son géant vert de cousin, la demoiselle se voit, elle aussi, dotée du pouvoir de se transformer en géante ultra-puissante aux colères monumentales. C'est sur cette trame que commence She-Hulk : Avocate, accessible sur Disney+. Une série plutôt réussie qui a le mérite de faire souffler un vent de fraîcheur sur le MCU.

Qu'on se le dise, Marvel a de la ressource. Et continue de piocher habilement dans son catalogue pour y dénicher des personnages secondaires au fort potentiel. Cette fois, ils ont jeté leur dévolu sur She-Hulk, le pendant féminin du monstre vert, qui fut créée en 1980, en réponse au succès de la série vintage L'Incroyable Hulk lancée en 1977 par CBS. Moins torturée que Black Widow, moins austère que Captain Marvel, plus mature que Miss Marvel et moins barrée que Wanda Maximoff, She-Hulk propose une version plus légère, finalement presque plus contemporaine, des super-héroïnes du MCU.

D'ailleurs, si notre avocate se retrouve un jour la peau verte, c'est par accident et, il faut bien l'avouer, ce superpouvoir ne l'intéresse pas du tout, l'embarrasse même, elle qui rêve de devenir la star des prétoires tout en continuant à chercher l'amour sur Tinder.

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