Sochaux : et maintenant, le terrain !

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Depuis qu’il a reçu par la DNCG et la FFF l’autorisation d’évoluer en National, le FC Sochaux, en déplacement au Red Star vendredi (19h30) pour son premier match de la saison, est occupé à modeler son effectif. Interdits de recrutement à titre onéreux, les Lionceaux, malgré l’urgence, ont accueilli déjà neuf recrues. En attendant la suite.

Sidy Diagne, un ancien du club, de retour après une année à Angers, est devenu le mercredi 23 août la huitième recrue officielle du FCSM. Il est encore trop tôt pour savoir si le jeune défenseur sera qualifié pour affronter le Red Star vendredi au stade Bauer, lors de la 3e journée de National, mais l’essentiel, finalement, est ailleurs. « Il y a encore une semaine, on ne savait pas dans quelle division on allait évoluer. On avait commencé par travailler sur un recrutement pour la Ligue 2. Puis il y a eu la première décision de la DNCG, qui rétrograde le club en National, l’échec du plan de reprise de Romain Peugeot, l’hypothèse du National 3 et même du dépôt de bilan, et finalement, il s’est passé ce que l’on sait grâce à MM. Plessis et Wantiez. Alors, avec l’été que nous avons vécu, ne pas encore savoir quelles recrues seront qualifiées, c’est presque anecdotique », résume le directeur sportif Julien Cordonnier.

Pas de salaire supérieur à 10 000 euros

Avant Diagne, le FCSM avait enregistré huit autres arrivées : Baptiste Valette (Cholet), Koffi N’Dri (Reims), Kevin Hoggas (Beveren, Belgique), Issouf Macalou (Valenciennes), Mouhamadou Drammeh (Vejle BK, Danemark), Julien Dacosta (Nancy), Diego Michel (Versailles) et Thomas Fontaine (Gençlerbirligi, Turquie). « On attend encore d’autres recrues, au moins trois », poursuit Cordonnier, lequel, prudent et visionnaire, n’avait pas attendu le 17 août afin de plancher sur le recrutement pour le National. Il sait, depuis cette date, qu’il doit composer également avec les limites imposées par la DNCG. « Beaucoup de joueurs ont quitté le club. Il ne reste plus grand monde de la saison dernière. On a l’interdiction de recruter à titre onéreux. Donc, on ne peut faire venir que des joueurs libres, ou alors sans verser d’indemnité de transfert, et des prêts. Le tout avec un encadrement de la masse salariale », intervient Jean-Claude Plessis, le nouveau boss, de retour aux affaires après avoir présidé le club de 1999 à 2008. « Cela veut dire également que nous ne pouvons pas nous permettre de verser des salaires trop importants. Cette saison, aucun joueur ne touchera, hors primes, plus de 10 000 euros par mois. On a certes un budget important pour le National (15 millions d’euros, NDLR), mais hors de question de faire n’importe quoi, en donnant de gros salaires », poursuit le dirigeant, en faisant implicitement référence à un passé récent et aux largesses de l’ancienne direction, capable de verser 80 000 euros par mois à un joueur ayant reçu une prime à la signature de 400 000 euros.…

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