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La soprano Pretty Yende affirme avoir été brutalisée par la police à Roissy

La jeune femme a affirmé sur son compte Instagram, mardi, avoir été traitée « comme une criminelle » par la police française lors d’un contrôle à l’aéroport.

La chanteuse lyrique sud-africaine Pretty Yende a affirmé mardi sur les réseaux sociaux avoir été traitée « comme une criminelle » par la police française à son arrivée la veille à l'aéroport de Roissy. Une version contestée par des sources policière et aéroportuaire à l'AFP.

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Dans un message posté sur Instagram, la chanteuse qui se produit actuellement au Théâtre des Champs-Elysées à Paris dans un opéra de Bellini, explique avoir été « traumatisée » par un contrôle à l'aéroport Charles-de-Gaulle.

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« La violence policière est réelle, pour les gens qui me ressemblent »

« La violence policière est réelle, pour les gens qui me ressemblent », écrit la soprano, faisant un lien entre le traitement qui lui a été réservé et sa couleur de peau. « Ils m'ont déshabillée et fouillée comme si j'étais une criminelle et m'ont placée dans une cellule », poursuit-elle, sans donner de détails sur l'origine de ce contrôle.

Arrivée de Milan, l'artiste de 36 ans disposait d'un passeport sud-africain dépourvu de visa, a indiqué une source policière française, toujours à l’AFP. « A aucun moment il n'y a eu d'incidents » et il ne lui a lui pas été demandé de se déshabiller, a-t-elle...

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