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TÉMOIGNAGE. "Je suis devenue « love coach » pour libérer le plaisir des femmes"

C'était une passion et un mode de vie. Mais le plaisir, pour Lydie, est aussi devenu un métier. "Aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours adoré les histoires d'amour. Je suis super curieuse, des corps, des vies, des expériences", affirme la trentenaire bien dans son corps et claire dans sa tête. Dès l'adolescence, elle constate que le naturel et la liberté font défaut à beaucoup de femmes : "Ça commence par l'image de soi, souvent très critique. Je suis objectivement un peu grosse, 1,73 m et une centaine de kilos. J'ai envie de chocolat ? Je mange du chocolat ! Les hommes ne m'en font pas le reproche parce qu'ils voient que je suis heureuse. Et je les désire avant de me demander ce qu'ils pensent de moi."

Fille d'un couple soudé, Lydie a commencé par exercer un métier très éloigné de l'intime, celui de comptable : "J'arrivais au bureau avec toujours une nouvelle idylle à raconter, totalement imprévue. Internet n'est pas mon truc, j'aime le choc des rencontres et des émotions. Je suis capable de croiser un type qui me plaît au supermarché et de le lui faire comprendre avec humour, dit-elle en éclatant de rire.

"J'encourage chacune à oser être comme elle est, à se mettre en valeur"

"Mes collègues regrettaient de ne pas oser, certaines m'enviaient." Elles s'interdisent les coups de cœur autant que les coups de foudre, la minijupe qui les grossit ou le décolleté qui les vieillit. A la machine à café, Lydie leur répète de se lâcher. Love coach (...)

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